Chapitre 7

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Bradley

-monsieur

-oui Katy, entrez.

-il y a votre oncle qui attend à la réception et il..

Je suspens mon geste et jette mon stylo sur la table.

-et j'espère que vous lui avez dire que je n'étais pas là n'est-ce pas Katy ! Dis-je sur un ton plus menaçant que je l'aurais voulu.

Le visage blême, mon assistante déglutine et se dandine un pied sur l'autre tous en se tortillant les doigts.

-heu.. C'est t'a dire que... Désolé messieurs.. Il..

Je souffle exaspéré.

-sa va. Fait le entrer dis-je sèchement en fesant un signe de la main pour lui signifier de sortir.

2 mn après mon oncle Henry faire irruption dans mon bureau.

-ah ! Comme sa on m'évite mon petit ? Dis-t-il en prenant place dans le siège de l'autre côté du bureau.

-je ne t'évite pas henry, je suis un peut trop occuper c'est tous.

-hum. Si tu le dis...alors comment tu vas ?

-merveilleusement bien comme tu peux le voir.

Le quincagenaire me regarde de ses yeux vert perçant sans rien dire.

Je ne sais pas pourquoi mais je sens comme une légère irritation monter en moi.
Je soutiens son regard avant de lui dire :

-tu vois, voilà pourquoi je t'evite comme tu dis.

-pourquoi. Dis-t-il toujours serein.
Et sa ça commence à m'énerver.

-à cause de ce regard inquisiteur que tu as à chaque fois qu'on se voit. C'est comme si tu...

-c'est comme si quoi !

-raaaa.. Tu m'énerve tu sais !

Je me redressais d'un bon de mon fauteuil avant de passer ma main dans mes cheveux.
Faisant face à la baie vitrée ,mon regard ce perdit dans le paysage urbain.
Un moment de silence passa.

-je ne le ferai pas oncle Henry. Je ne suis pas lui. Je ne suis pas mon père.

-je le sais. Mais tu ne peux pas me reprocher de vouloir m'assurer que tu vas bien. J'ai regarder ton père sombrer jour après jour sans jamais rien faire. Je ne veux pas que cela ce reproduise fiston.

Je sans comme une pointe de culpabilité dans sa voix. Je me retourne et lui faire face.

-tu ne pouvais pas savoir ce qu'il allait faire. Personne ne pouvait savoir qu'il aller se suicider pour l'amour d'une catin ! Laissant derrière lui une femme et 2 enfant. Il a été faible et lâche ! Et je suis loing d'être comme lui.

-ce n'est pas totalement à cause de cette femme Bradley.

Je fronces les sourcils ne comprennent pas ce qu'il voulait dire.

-lorsque on était adolescents ton père avait essayer de se suicider une fois. T'es grand parents était absent. C'est moi qui l'est trouver dans la salle de bain. Il venait juste de s'ouvrir les vènes et il regardait fasciner le sang couler. Je me suis en pressé de lui mettre un bandage. Et quand je lui est demandé pourquoi il avait faire ça, il m' a juste regardé dans les yeux sans rien dire..... Mais lorsque j'ai vu cette lueur dans ses yeux ce soir là, j'ai su... J'ai su qu'il était suicidaire. Il m'a fait promettre de ne pas en parler à nos parents et nous n'avons plus jamais aborder le sujet.

il se taire un instant avant de reprendre le visage pensif.

-il m'avait assurer qu'il voyait un psychologue régulièrement et c'était vrais. Cette liaison malsaine qu'il entretenait avec  cette femme à juste réveiller ses vieux démon.

Je le regardais sidéré.

-est-ce que maman le sait ?

Il remu la tête de gauche a droite.

-tu devrais le lui dire. Elle se sens encore responsable pour ce qui c'est passer.

-je le sais.

Un ange passa.

-alors tu dire que tu vas bien. Donc je ne devrais pas m'inquiéter pour ses deux amande pour excès de vitesse du mois dernier ?

-comment tu c'est ça ?

Je lève les yeux aux ciel.

-arrête de me faire suivre par tes garde du corps Henry.

-seulement si tu fais reprendre du service à ton chauffeur et ton garde du corps. Comme sa au moins je saurais que tu n'es pas seul en permanence.

-d'accord je verrais.

-bon je vais y aller. Prend soin de toi Brad dis-t-il en me donnant une tape sur l'épaule.

-OK

-ah ! Et au faite, appelle ta mère de temps en temps elle en a marre d'avoir de tes nouvelles que dans les magazines.

-j'essaierais .

Après le départ de mon oncle, je restais assis dans mon fauteuil la tête en arrière, les yeux fermés et laissais mes pensées aller à cette soirée dimanche dernier chez Stella.

A cette fille métisse, au cheveux bouclés couleur caramel et aux courbes sensuelle .

Je me demandais combien de temps elle oserait soutenir mon regard sur elle. Apparemment pas longtemps puisqu'elle s'est retourner pour faire face au bar. Et là, Lorsque mes yeux ce sont poser sur son tatouage partant de dernière son oreille jusqu'à sa chute de rein, c'est la que je l'est reconnu.
C'était bien elle cette femme dans l'allée de mon immeuble qui se tenait à genoux entrain de nettoyer le sol. C'était le même tatouage qui dépassait de son débardeur.
Je me souvien encore de tous ses choses sordite qui m'ont traversés l'esprit lorsque je l' ai surpris dans cette position le dos cambré le cul en évidence.

Ce qui est sûr, c'est que je compte bien mettre l'une après l'autre chacune de ses images salace en pratique .

Je sourie légèrement.

Il me la faut !

Waynes :mon diamant noir TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant