Entre New-York et Barcelone. Serena TORRES sa vie tumultueuse, sa famille, ses secrets.
Une beauté hypnotisante et un caractère bien trempé.
Sur fond de cartels et d'amours impossibles !!!
Un Adrian VARGAS aussi beau que cruel.
Un Dylan TURNER dans...
(New-York au wildcat, quelques jours plus tôt, le vendredi 01 mai 2020).
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(PDV Blade)
Ce soir après le passage d'Adrian et son impulsivité légendaire au « wildcat ». On a ramassé la casse et on a fermé le bar. J'ai bien vu que Serena évitait mon regard. Elle sait très bien ce que je pense du patron de « Los ojos del diablo ». Je commence à en avoir marre de sa gueule et de ses sales manières de gosses capricieux. Et maintenant y vient me péter le bar. Merde, jai bien vu que c'est pas le moment on en parlera une prochaine fois.
Elle est repartie avec Dylan. Je l'aime bien lui cet un bon gars un peu lisse c'est vrai mais correct. Si seulement elle pouvait retomber dans ses bras. Ça me faciliterait la vie au moins lui il est pas fêlé du casque comme l'autre crevard d'Adrian. D'ailleurs il m'a proposé de m'occuper du bâtiment voisin.J'ai accepté on verra bien ce qu'il veut en faire.
Je commence sérieusement à m'impatienter. J'ai demander à serena de me donner un moyen de la joindre et rien à l'horizon. Elle me les brise. Je l'adore mais elle me fout en rogne avec tous ses mystères.
Cette petite elle m'a sauvé la mise je ne sais combien de fois. Un ange pour moi, mon ange. Elle m'a ramassé dans un caniveau complètement bourré.J'avais une belle fracture de la boîte crânienne, certainement quelques côtes cassées et deux dents en moins.
J'avais pas été très réglo avec le patron du pink fire. Je lui devais une petite somme en crédit de boisson et j'avais un peu fricoter avec sa femme. Une magnifique russe de 26 ans, rghhhh exquise. Il avait pas aimé.
A cette époque j'étais un voyou de bas étage qui errait sans but, paumé sans aucune vision sur le long terme. Un opportuniste, pickpocket et sacré beau gosse. Mes parents était des junkies. Ils sont morts d'overdose tous les deux quand j'avais huit ans et ensuite j'ai enchaîné les foyers jusqu'à ma majorité.
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Un gosse de la rue livré à lui même qui n'a jamais reçu d'amour ou d'éducation . Un gosse comme il y en a tant d'autres à New-York et ailleurs dans le monde, une goutte dans cet océan de malheur.
