PDV Sally :
Je regarde Thomas allongé devant la cheminée entrain de dormir. Je repense à ses lèvres collé contre les miennes. N'y a t il rien de plus satisfaisant que de savoir que l'on a une bombe à retardement entre ses mains ? Je me demande ce que pourrait bien en penser Willy. J'espère que ça lui piquera le cœur, ne serait-ce qu'un peu. Qu'il puisse ressentir un quart de ce que j'ai pu éprouver. Et ensuite, je le ferais sombrer, lui et ses acolytes. J'adore ce sentiment de vengeance. Que Thomas, qu'il déteste tant, ai pu avoir la fille qui était tant amoureuse de lui au départ, j'éspére que cela va le rendre fou. Je vais rallier tout les enfants du village à ma cause et ce sera alors moi qui gouvernera sur Timpelbach. Je détruirais tout comme ces flammes dans le cheminée, derrière moi il n'y aura que des cendres.
Le lendemain, avec Mireille nous allons chez Marianne. Elle a beaucoup d'enfants de sont coté, si j'arrive à la faire venir dans mon camp ce sera le début de ma renaissance.
« Salut Marianne. Dis-je avec un grand sourire
- Sally ? Tu es rentrée de chez Oscar ?
- Ouais, je n'ai pas réussi à m'infiltrer, je n'étais pas dans mon élément.
- Oh je vois. Rentrez. »
Je la suit jusqu'au salon, où Manfred écarquille les yeux face à Mireille. Celle ci commence immédiatement son travail pendant que moi j'amadoue là chef. Nous nous asseyons dans le bureau de son père.
« Je vais être honnête. Je veux écraser Oscar pour tout le mal qu'il vous a fait et qu'il m'a fait.
- Et Victoire ? Elle est avec Oscar maintenant non ? » Demande t-elle se souciant de mon ancienne amie
Je lève les yeux au ciel avec un petit sourire.
« Elle a fait son choix. Elle doit assumer les conséquences. Nous ne pouvons pas rester sans rien faire face au chaos qu'ils préparent. Nous devons protéger le village.
- Oui, nous avons déjà réussi à rallier des partisans d'Oscar dans notre camp.
- Bravo, c'est génial ! Maintenant, si tu me le permets, j'aimerai faire partie intégrante de votre projet, je veux aider et nous conduire vers la victoire.
- Je t'ai toujours apprécié, ce serait avec plaisir. » finit-elle en me tendant la main
Je lui serre la main avec un grand sourire. Ça y est le plan peu démarrer. Avec les troupes de Marianne derrière moi, je serais plus forte qu'Oscar. Et quand ce sera la guerre, je gagnerai enfin. Ils verront tous. Victoire. Willy. Ils verront ma vengeance. Je serais impitoyable.
Cela fait plusieurs jours que je suis avec Marianne, les autres m'apprécient beaucoup, et je suis le bras droit de Marianne. Le Timpelbach de Marianne fonctionne bien, c'est impressionnant. Quand je vois tout ce monde de notre côté, je suis très fière. Thomas et Mireille se sont aussi intégré au groupe et nous sommes tout les trois devenus très proches. Je retrouve peu à peu une meilleure amie avec Mireille, j'apprécie sa présence à mes côtés, elle me soutiens.
Je toque à la porte de l'atelier de Thomas, un carton dans les bras.
<< Qu'est ce qu'il ce passe ? demande-t-il en ouvrant
- Marianne m'envois t'apporter tout ces trucs cassé, elle veut que tu les répare. expliqué-je en entrant
- Evidement, j'aurai du m'en douter. Les choses cassé par les petits s'est toujours pour moi. s'exclame-t-il dépité
- Ne te plains pas, grâce a sa on peut se voir à l'abri des regards...>> dis-je en posant le carton sur son atelier, un petit sourire en coin
Il m'attrape par la taille, son souffle dans mon coup.
<< C'est vrai, et ça, je ne m'en plaindrai jamais...>>
Il dépose un doux baisé dans mon coup, puis sur mes lèvres. Je passe ma main dans ses cheveux, j'aime cette sensation. Quand mon emploi du temps me le permets, je reste avec Thomas dans son atelier. Il me comprend et m'apaise. J'ai l'impression que tout devient clair ici, cet espace est devenu mon échapatoir, je m'y sens vraiment bien. Ses moments de calme loin du bruits et des tracas de Timpelbach font partie de ceux que je voudrais faire durer des heures. Je ne sais pas si Thomas m'aime, mais il m'apporte l'attention dont j'ai besoin et ça me suffit. J'ai toujours voulu vivre une grande histoire d'amour, mais ce n'est peut-être pas pour moi, et au final ce n'est pas plus mal. Je ne suis plus une gamine naïve, je n'ai plus besoin d'un prince charmant.
<< Sally ! Thomas !>> s'écrit une vois dehors
Thomas pousse un soupire en s'écartant de moi et se dirige vers la porte.
<< C'est Oscar et sa bande, ils ont prévu de nous attaquer demain, ce sera le guerre !>> s'exclame le petit Louis
Un frisson me parcours, ça y est. Tout commence. Nous nous sommes préparé à les affronter et voilà que ce jour arrive enfin. Je suis plus déterminer que jamais. Je sors de l'atelier en bousculant le gosse, je mets ma veste. La nuit est déjà là.
<< Thomas, c'est maintenant.>>
Il hoche la tête et ferme la boutique puis me suit. Le vent frais souffle sur ma peau. Je sens une énergie nouvelle en moi. Je suis euphorique. Nous marchons dans une petite ruelle qui méne a une route plus large. J'arrive enfin devant la maison de Cécile, Thomas sur les talons. Ma maison. Nous rentrons et j'avance dans la grande salle à manger illuminer par les chandeliers.
<< Nous n'attendions plus que vous.>> dit Mireille assise a la table
Un large sourire s'affiche sur mon visage. Je traverse la pièce et m'assois enfin sur la chaise en bout de table qui préside la salle. Une salle rempli d'enfants. Enfants qui était sous le joug d'Oscar, puis sous celui de Marianne, et qui sont enfin à moi. Voilà ma rébellion. J'ai désormais mon armé fantôme, et à côté de moi se tienne Mireille et Thomas. Ma vengeance va enfin prendre forme et ce répendre partout. Je vais tout brûler.
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Hey !
Chapitre un peu court je sais et j'en suis désolée. J'ai quelque problèmes avec mon ordinateurs qui m'empêche de corriger beaucoup de mes fautes, j'espere que ça ne vous dérange pas trop, j'éssaie de faire de mon mieux. Sinon j'épére que ce chapitre vous plait !
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Les enfants de Timpelbach
FanfictionLes parents du village de Timpelbach sont dépassés, ils ne savent plus quoi faire avec leurs enfants qui, on peut se l'avouer, sont complètement fou. Alors ils décident de prendre la plus difficile des décisions : partir du village et laisser les en...