PDV de Victoire :
J'ai toujours remercié le ciel de m'avoir donné ce visage. Et même si mes parents ne voulaient pas moi, que je ne suis le fruit que d'une erreur, le hasard a bien fait les choses. Et je sais me servir de mes atouts. J'ai su dupé bon nombre de personnes avec ce visage. J'ai construit autour de lui un masque parfait qui me permets de contrôler qui je veux. Et aujourd'hui je suis sur le trône de Timpelbach avec mon amour.
J'aurai bien apprit une chose dans ce monde : je ne peux compter que sur moi-même si je veux survivre. J'ai été le souffre douleur assez longtemps, j'ai réussi à faire de ma vie quelque chose de meilleur. Et même si je n'ai pas pu empêcher certains de me faire du mal, j'ai eu le contrôle sur assez de personnes pour arriver à mes fins. J'ai soif de pouvoir.
« Tu es si belle mon amour. Comment fais tu pour me rendre aussi dingue de toi... » murmure Oscar en m'enlacent
Il me donne un baiser dans le coup avant de me fixer dans le miroir. Il caresse mes cheveux.
« On ira loin, ensemble. » dit-il
Je porte alors mon attention sur lui. Mes lèvres forme un grand sourire.
« Oh oui mon amour. »
Dans la peine ombre de la salle du Lion d'Or, Oscar et moi font notre apparition. L'un à côté de l'autre, fières. Comme le roi et la reine de Timpelbach. N'y a t'il rien de plus satisfaisant ?
Oscar affiche un sourire narquois. Voilà une bonne nouvelle, les actions des Écorchés se déroulent sans problème. Notre domination n'a plus aucun doute. Je laisse Oscar et Jean parlait et je sors dehors prendre l'air. Il fait un peu froid mais j'aime cette sensation de picotement sur mes joues. Pendant que je ferme les yeux un instant, j'entends un murmure qui attire mon attention.
« Quelque chose se prépare à la boucherie. Attention aux Écorchés. »
Je fronce les sourcils et m'avance. Je vois alors le guignol au monocle lancer un oiseau métallique dans le ciel. Oh alors toi...
« Qu'est ce que tu fais ? » Dis-je d'un ton menacent
Il se retourne en sursaut, sûrement étonné de me voir. Je ne l'ai jamais sentie celui là. Je m'avance encore vers lui. Il est déstabilisé.
« Quel temps magnifique n'est ce pas ? » finit-il par répondre en marchant vers l'entrée du Lion d'Or
Je l'ai dans le viseur, un seul problème et je me chargerai de lui régler son compte.
Quelques heures plus tard Jean revient avec de bonnes nouvelles. L'action à la Boucherie c'est passé comme prévue, en plus d'avoir déstabilisé Marianne et sa troupe de gentils toutous, nous avons récupéré de la nourriture. Oscar m'attrape par la main et m'embrasse. Voilà une victoire de plus à notre palmarès.
A la nuit tombée Willy rentre avec toute une troupe d'Ecorché. Apparement ils ont fait peur à un homme qui désirait entrée dans le village. Je n'accepterai pas qu'un simple adulte vienne gâcher tout ce que nous avons accompli. Non, il en est hors de question.
« C'était vraiment drôle, un vrai plaisir de faire peur à cette homme, oh si tu avais vu sa tête Victoire, il était mort de peur ! » Me dit une voix me sortant de mes pensées.
Capucine pause sa main sur mon épaule avec un grand sourire qui illumine son visage pâle. Cette fille fait partie des Écorchés, nous sommes devenu très proche. Elle enlève l'élastique qui enfermait ses long cheveux roux en chignons et ils descendent en cascades de boucles sur ses épaules.
« Tu n'es sais pas à quel point j'envie ta longueur, tes cheveux sont vraiment sublimes. » dit-elle en passant sa main dans mes cheveux
Nous continuons de discutait jusqu'à ce qu'Oscar se dirige vers nous avec un petit sourire malicieux.
« Dites-moi les filles, que diriez-vous d'aller fouiller la mairie ? Et par fouiller je veux dire la saccager. Nous propose-t-il
- Pourquoi pas ? Je suis sûr que nous allons trouver des choses très intéressantes, comme chez Corbac ! Dis-je
- Allons-y ! » finit-Capucine
C'est alors qu'Oscar, Willy, Capucine et moi sortons du Lion d'Or pour nous diriger vers la Mairie. C'est le QG de Marine, j'ai vraiment hâte d'y aller, et qui sait nous trouverons peut être quelque chose sur ses plans et un moyen de la détruire complètement. Je crois qu'à force d'avoir étais détruite par le monde, je veux détruire le monde à mon tour.
Willy ouvre les portes de la Mairie et nous entrons. Je n'y étais jamais entrée, et je dois admettre que je suis surprise par la beauté des lieux. Je passe doucement ma mains sur une commode en bois, je lève les yeux sur le grand miroir en face orné de motif doré. J'observe Oscar dans le reflet. Il cherche dans chaque tiroir quelque chose qui pourrait nous intéressait. Il a son petit sourire amusé collé sur ses lèvres. J'adore se côté là chez lui.
Moi aussi je fouille de mon côté. Il n'y a pas grand chose d'intéressant. Je soupir. Et commence à discuter avec Capucine. Je l'aime bien. Elle comble le vide qu'à laissé Sally lorsqu'elle est partie. J'avais tant besoin de la meilleure amie, mais c'est peut être a cause de moi qu'elle est partie. Après tout elle n'avait pas sa place chez nous, et je l'ai forcé à venir.
« Victoire, quel jour es-tu né ? »
Je me troue en vers Willy en fronçant les sourcils. Il tient des feuilles dans sa main.
« Le 25 juillet, pourquoi ? » dis-je en m'avançant vers lui
Il me regarde à peine. Il fixe ses papiers d'un air horrifié. Il me fait presque peur, tellement que j'hésite a m'approcher plus de lui.
« Willy ? Qu'est ce qu'il ce passe ? » demande Capucine
« Où es-tu né ?
« Pourquoi toutes ses questions ? dis-je
- Réponds moi. S'exclame t-il
- À Paris, à l'hôpital Saint-Antoine.
- Putain. »
Il sert les dents. Je ne vois plus ses yeux. Il tremble. Oscar s'approche alors de lui et lui prends les feuilles. Il les regarde lentement, et puis son visage se redit. Il tourne son regard vers moi.
« Victoire. Willy et toi...vous êtes frère et sœur . »
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Hey !
Comment ça va ?
Ça fait longtemps !
J'espère que ce nouveau chapitre vous plait.N'hésitez pas aimer et commenter, j'ai hâte de connaître vos avis !Bisous,
Alex.
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Les enfants de Timpelbach
FanficLes parents du village de Timpelbach sont dépassés, ils ne savent plus quoi faire avec leurs enfants qui, on peut se l'avouer, sont complètement fou. Alors ils décident de prendre la plus difficile des décisions : partir du village et laisser les en...