chapitre 18

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Il fût étonné, comment cela pouvait-il être possible ? Un traître se cacherait-il parmi eux ? Où était-ce seulement une rumeur ? Il ne voulait prendre aucun risque et surtout il se mit à s’inquiéter pour Anna. Était-elle également en danger ? Il pris la décision de faire fouiller tout le palais de façon discrète et méticuleuse, il demanda à l’un des conseillers de son défunt père d’établir cette tâche. Il décida de n’en souffler mot à Anna qui avait déjà des problèmes de cœur. Il ne voulait pas qu’elle s’inquiète.
La journée se termina plus rapidement qu’il ne l’aurait cru. Il ne se rendit même pas compte de l’heure qu’il était quant Anna entra dans son bureau. Jarrell était face à la baie vitrée et regarder le coucher de soleil songeur. Elle s’approcha délicatement de lui et mit sa main sur son épaule. Il se retourna brusquement en la tenant par le cou. Elle sursauta et ne bougea pas, elle écarquilla les yeux de peur. Il regretta aussitôt ce geste, quant il se rendit compte que c’était elle il relâcha sa prise.

Jarrell : Mon dieu Anna, je suis désolé je ne savais pas que c’était toi.

Anna : Je vois ça… Que se passe-t-il ?

Jarrell : Anna j’aurais pu te faire extrêmement mal.

Il s’approcha d’elle et il effleura ses lèvres avec les siennes. Il l’a pris dans les bras et la serra fermement. Elle sentait que quelque chose n’allait pas. Premièrement il n’avait jamais été aussi brusque et deuxièmement il paraissait ailleurs.

Anna : Est-ce-que tu es sûr que tu vas bien ?

Jarrell : Oui ne t’inquiète pas mon ange, une petite affaire à régler mais tout ira bien.

Elle n’était pas convaincue mais ne pouvait pas l’inviter à parler s’il n’en n’avez pas l’envie. Elle lui sourit et lui fît un bisou sur la joue.

Jarrell : Qu’as-tu fait de ta belle journée ?

Anna : J’étais à la bibliothèque et j’ai lu.

Il fronça des sourcils.

Jarrell : J’espère que tu n’as pas travaillée.

Anna : Non, mais il faudra bien que je continue à un moment donné .

Jarrell : Tu n’es pas obligé je te l’ai dit, si tu le souhaites je peux…

Anna : Si tu dis payer ton opération c’est hors de question.

Jarrell : Pourquoi ?

Anna ne supportait pas d’avoir cette conversation avec lui. Elle l'avait déjà eut une où deux fois et ça se terminer toujours mal.

Anna : Écoute Jarrell, nous avons déjà eu cette conversation. Je te l’ai dit je ne veux rien devoir à personne. Tous les deux nous savons très bien que notre histoire se terminera à un moment donné.

Jarrell : Vraiment et tu as décidé ça quand ?

Anna : Oh je t’en prie, tu sais très bien que notre histoire ne peut pas durer. Il y à plusieurs raisons à cela, ne fais pas celui qui est surpris.

Jarrell : Bien sûr que si je suis surpris, je me demande bien quant est-ce-que tu comptais me dire que tu ne voulais plus de moi ?

Anna : Arrête de dire de telles choses, sa n’est pas le cas.

Jarrell : Alors où est le problème ?

Anna : Tu es roi.

Jarrell se mit à expirer bruyamment.

Jarrell : Être roi n’est pas un obstacle.

Anna : Vraiment et que dira le peuple si il savent que tu es avec une personne qui n’a même pas de titre, ni aucun bien, je n’ai même pas de famille.

Jarrell : Ils te verront comme moi je te vois et il t’adorons.

Anna ferma les yeux, elle n’était pas satisfaite de sa réponse. Elle savait qu’à un moment donnée ça se terminerait. Il se voiler la face voilà tout. Il s’approcha d’elle et fît en sorte qu’elle le regarde dans les yeux. Elle avait peur, il pouvait le constater.

Jarrell : Je n’ai pas l’intention de te laisser tomber ou de t’abandonner et je t’interdis ne serait-ce que d’y penser.

Anna voulu répondre quelque chose mais il l’embrassa avec intensité, elle en eût des frissons. Il avait une façon de l’embrasser, de la regarder qui la rendait folle. Folle amoureuse de lui.
Il lui pris la main et la dirigea dans sa chambre, une fois à l’intérieur. Il enleva sa chemise qu'il lança au sol et s’approcha d’elle tel un prédateur.

Jarrell : J’ai goûter à tes lèvres, goûter à ton corps, goûter à ton savoir, goûter à ta façon de voir les choses si particulière. Il est hors de question que tu m’échappe.

Il la déshabilla du regard, puis commença à l’embrasser. Elle aurait voulu lui dire qu’elle était amoureuse de lui mais ce retiens de le faire. 
Le lendemain matin, Jarrell c’était lever tôt. Il était toujours tracassé par cette rumeur  que lui avait raconté Aziz. Il était dans son bureau à essayer de chercher un document, quand Aziz ainsi que l’autre conseiller de son père Ibrahima entra.
Ibrahima s’avança vers lui extrêmement confiant. Il avait un je-ne-sais-quoi que Jarrell n’apprécié pas. Mais c’était le conseiller de son père depuis de nombreuses années, il ne pouvait se séparer de lui.

Ibrahima : Votre Altesse, je suis heureux de vous annoncer que nous avons retrouvé la personne qui vous en voulez.

Jarrell fût surpris et se leva afin d’écouter la suite. Il se rendit compte qu'Aziz était en retrait la tête baissée, cela ne présage rien de bon. Ibrahima sortie d’un de ses dossiers une feuille. Il la tandis, Jarrell l’a pris et commença à lire les quelques lignes, avant de devenir blême.

Jarrell : Impossible.

Ibrahima : Et pourtant nous l’avons retrouvé dans son tiroir.

Jarrell fronça les sourcils et le regarda furieusement.

Jarrell : Vous avez fouillé sa chambre sans m’en avertir !

Ibrahima recula d’un pas extrêmement nerveux, quant à Aziz il regarda le roi inquiet. Jarrell accrocha son regard.

Jarrell : Aziz vous auriez dû m’en parler !

Aziz : Je suis navré Votre Altesse mais j’étais contre. De plus, j’ai du mal à croire qu’elle…

Ibrahima : Oh je t’en prie Aziz arrête de prendre la défense de tout le monde, c’est écrit, c’est elle !

Aziz : Je ne juge personne tant que je n’ai pas..

Il ne pût finir sa phrase que Jarrell frappa du poing sur la table, les deux hommes sursautèrent. Il avait du mal à les supportaient quant il étaient ensemble, ils se détestaient depuis toujours. Jarrell prit de nouveau cette feuille et commença à lire encore, encore et encore. Les deux hommes ne bougèrent pas, ils savaient que quand le roi était en colère, il était ingérable. Aziz savait également qu’il était anéantie. Cette feuilles était une trahison et bien pire que cela.

le lien éternel tome IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant