le lien éternel tome III

chapitre 23

Hello à vous ❤ j'espère que vous ne stressé pas trop pour notre adorable Anna, une femme forte et combative.
Bon aujourd'hui je suis un peu vidé. Depuis hier soir je fais plusieurs crises d'angoisse pour un problème de santé personnelle.  C'est très dure à vivre mais vos commentaires m'aide et me font sourire merci mes saucisses de dinde ❤
XoXo Jane

Jarrell eût de la peine, il s’approcha d’elle et lui tendit sa deuxième main, qu’elle pris. Anna sortit doucement de la voiture en grimaçant. Il mit sa main sur son dos et l’autre était toujours dans sa main, elle prenait appuie sur lui. Il ressentit une sensation douloureuse, car il savait qu’elle ne désirait pas qu'il la touche. Il sentit, qu’elle c’était légèrement tendue à son contact. Elle ne le regardait toujours pas dans les yeux. Il aurait voulu lui exiger de le faire mais il n’en n'avait aucun droit. Jarrell l'emmena à l'intérieur du palais, elle s’arrêta un instant puis daigna enfin le regarder.

Anna : Votre Altesse je… Je me demande ce que je fais encore là ?

Jarrell :  Suit moi, je vais te le montrer.

Elle leva un sourcil étonnée, elle ne comprenait pas où il voulait en venir mais le suivi en silence. Il la tenait toujours fermement de façon à ce qu’elle ne trébuche pas. Elle ne pouvait se déplacer facilement ou du moins elle avait besoin d’aide, elle le suivi jusqu’à son bureau. Elle avait du mal à être proche de lui, de son odeur. Il la relâcha enfin pour ouvrir la grande baie vitrée, elle le regarda toujours étonnée.

Jarrell : Vient.

Elle se décida à le rejoindre en fronçant légèrement les sourcils. Quand elle sortie sur le balcon, elle entendit d’abord un brouhaha. Étonnée, elle se dirigea vers la rambarde et soudainement, elle entendit tout le peuple du royaume crier le nom du roi et d’autres acclamations qu’elle ne comprenait pas. Elle n’avait jamais vu cela depuis qu’elle était ici. Elle savait qu’il était aimé de son peuple, elle se retourna vers lui, il était debout à côté d’elle impassible. Jarrell était tellement beau et tellement impressionnant qu’elle ne pût détacher son regard de lui. Il portait une tenu traditionnelle qui lui allait tellement bien. Quand il la regarda enfin, elle regarda le peuple une nouvelle fois avec un léger sourire.

Anna : C’est extrêmement impressionnant, votre peuple vous adore.

Jarrell : Ce n’est pas moi qu’ils acclame mais toi.

Anna fût sous le choc, de quoi parlait-il ? Elle le regarda étonnée et il continua.

Jarrell : Tu m’as sauvé, tu as risqué ta vie pour moi, pour leur roi. Ils te seront reconnaissant toute leur vie et moi aussi d’ailleurs.

Anna devint rouge, et replaça une mèche de cheveux derrière son oreille.

Anna : Ça me met extrêmement mal à l’aise.

Jarrell : Vraiment ?  C’est bien la première fois que je vois une femme ne pas aimer l’attention que les gens lui portent.

Elle se mit à sourire.

Anna : Je ne suis pas comme tout le monde.

Jarrell : En effet.

Ils rentrèrent à nouveau dans le bureau, il l’aida à s’asseoir sur une chaise. Anna semblait fatiguée, ce qui était le cas. Jarrell s’agenouilla face à elle, il était beaucoup trop proche d’elle à ses yeux.

Jarrell : Reste.

Anna : Pardon?

Jarrell : Je t’en prie, reste j’ai besoin de savoir que tu vas mieux. Soigne-toi ici ensuite, si tu souhaites t’en aller alors fais-le. J’ai besoin de savoir que tu vas bien et mon peuple à besoin de le savoir également.

Anna réfléchit un moment, elle n’avait pas envie de rester trop proche de lui. Elle l’aimait toujours et c’était un énorme problème pour elle. Il l'avait trahi et c’était la chose la plus douloureuse qu’elle avait vécu. Mais que toutes ces personnes puissent se soucier d’elle, la touchée énormément.

Anna : Très bien, je reste mais je ne le fais pas pour vous.

Il se mit à lui sourire.

Jarrell : Je le sais.

Il la raccompagna dans une nouvelle chambre, qui se trouvait à côté de sa suite. Jarrell, lui avait souri, quand elle lui avait dit cette phrase mais son cœur ce brisa à ce moment-là. Il savait qu’elle lui en voudrait toute sa vie, il était impardonnable. Il l’avait trahi et blessée mais il était hors de question de la laisser partir. Il serait la pour elle, en espérant qu’avec un peu de temps il puisse se faire pardonner.