chapitre 21

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Bonjour mes saucisses de dinde,ne soyez pas trop dure avec Jarrell ❤. Je lis tout vos messages comme à chaque fois je vous comprends et comme vous j'aime Anna ne soyez pas trop inquiet ❤
Xoxo Jane

Jarrell : Cela fait plus de trois heures que je suis enfermé ici ! Vous l’avez arrêté maintenant j’aimerais sortir.

Un garde s’approcha de lui et s’inclina légèrement, avant de lui répondre d’une voix neutre et monocorde.

Garde : Nous sommes désolés Votre Altesse mais c’est la règle. Vous devez rester ici, nous ne savons pas si il avait des complices.

Jarrell souffla et continua à faire les cent pas. Il ressasser cette histoire dans sa tête, c’était un moment extrêmement horrible pour lui. Car plus le temps avancée, plus il se rendait compte qu'Anna n’était pas responsable. Il allait devenir fou, quand soudainement, Aziz entra à l’intérieur de la pièce. Sa chemise blanche était maculé de sang, Jarrell fonça sur lui inquiet.

Jarrell : Aziz tu es blessé ?

Aziz paru étonné.

Aziz : Non, je pensais que c’était vous.
Ils se regardèrent tour à tour et leur sang se glaça.

Jarrell : Oh mon dieu… Où est Anna ?

Aziz le regarda effrayé, il fit demi-tour, bouscula quelques gardes et se rendit au bureau en courant. Le roi voulu en faire de même, mais un garde se mis face à lui. Jarrell était si inquiet et nerveux qui le prit violemment par le col.

Jarrell : Soit vous me laissez passer, soit je vous tue de mes mains.

Le garde savait très bien, comme tout le royaume, que Jarrell était un excellent guerrier. Il le laissa passer en s’inclinant. Le roi se mit à courir avec une angoisse qui le pris au ventre. Quand il entra dans son bureau, Aziz lui indiqua qu’il ne fallait pas qu’il s’approche. Il avait l’air effrayé, mais Jarrell ne pût s'empêcher d'avancé. Son cœur s’arrêta, près de la baie vitrée, Anna était allongée au sol. Aziz était à ses côtés, il y avait du sang sur le sol. Une énorme quantité, les jambes de Jarrell s’arrêtèrent. Il ne pouvait plus avancer, ni parler. Cette vision était la pire chose qu’il ai avait vue dans toute sa vie. Il avait pourtant fait des guerres, vu des corps, mais ce n'était rien face à voir la femme qu'il aimait être dans cet état.
Anna respirait difficilement, Aziz fît en sorte qu’elle ne perde pas connaissance avant l’arrivée du médecin. Il lui prit la main et lui serra doucement. Elle le regarda, elle pouvait lire dans ses yeux larmoyants de la peine. La voix d’Anna n’était plus qu’un murmure.

Anna : Vous me croyez… N’est-ce pas ?

Aziz acquiesça et une larme roula le long de sa joue. Elle se mit à lui sourire en toussotant.

Anna :  Il… Il avait dit que personne… Ne pleurait pour moi.

Aziz : Anna gardez vos forces.

Anna : Inutile… Je ne suis pas assez forte pour cela… Écoute-moi s’il vous plaît je… Je n’ai plus beaucoup de temps.

Aziz : Anna le médecin va arriver.
Elle secoua doucement de la tête, pour lui faire comprendre que c’était inutile. Jarrell quant à lui faisait face à cette scène terrifiante mais il n’arrivait toujours pas à bouger.

Anna : Dans ma chambre… Il y a un… Un coffre en argent… Il y a mes dernière volontée… Faite ce qu’il y… Ce qu’il y a de noté.

Aziz : Non Anna vous allez…

Il ne fini pas sa phrase, elle le regarda. Elle était à bout de souffle.

Anna : Aziz promettez le moi.

Aziz renifla.

Aziz : Je vous le promets.

Anna souri et dans un dernier murmure inaudibles elle le remercia et ferma les yeux.

le lien éternel tome IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant