chapitre 20

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Anna : Non ce n’est pas moi, ce n’est pas moi qui ai écrit ça. Je n’ai rien fait, tu ne doit pas les croire Jarrell.

Jarrell mit un coup de poing sur son bureau et tout le monde sursauta. Anna le regarda et c’est à ce moment-là qu’elle su que c’est terminé. Il avait un regard si froid que son sang se glaça.

Jarrell : Je vous interdis de me tutoyer, vous finirez vous jour dans une prison. Je suis persuadé que c’est bel et bien vous qui avez fait cela. Il y a votre signature, de plus Ibrahima a raison. Avec vos problèmes de santé, vous ne resterez pas longtemps là-bas. Vous m’avez-vous-même dit que vous n’aviez pas de famille, personne ne vous pleurera !

Elle prit ses paroles aussi douloureusement qu’un choc frontal. Plus douloureux que son problème de cœur, bien plus douloureux que son accident de voiture. C’était la pire chose qu’elle aurait pu vivre. Elle l’aimait et lui la prenait pour une traîtresse, une personne qui aurait pu lui faire du mal. Elle n’aurait jamais fait cela, elle ne chercha même pas à savoir qui aurait pu faire une chose pareille. Elle ne chercha pas non plus à essayer de s’expliquer. Après tout, il l’avait jugé coupable. Ibrahima s’en alla et la porte se ferma derrière lui.

Jarrell : Vous êtes prête à tout pour vous faire de l’argent, pour votre satané opération.

Anna : À mon souvenir, vous m’avez proposé plusieurs fois de payer cette… Satanée opération et plusieurs fois j’ai refusée.

Jarrell prit cela pour un affront, comment osait-elle, après ce qu’elle venait de faire de lui parler de cette façon ? Si son cœur n’était pas envelopper de haine il aurait pût l’entendre, l’écouter, essayer de comprendre ce qu’il se passait. Mais ça ne pouvait être le cas, il avait été trahi à ses yeux et rien de plus douloureux et d’horrible ne pouvait lui arriver. Maintenant, il souhaitez seulement se débarrasser de ce sentiment et de cette humiliation.
Il se retourna et regarda la baie vitrée, Aziz était à côté de lui, il ne disait toujours rien. Que pouvait-il dire ? Il était dans un état tel que personne ne pouvait dire quoi que ce soit. Soudainement, une personne entra dans le bureau avec un plateau.

Jarrell : Je n’ai rien fait demander !

La personne avança, elle portait un keïf noir. Aziz lui demanda de se dépêcher et de poser le plateau sur la table, il y avait du thé et des biscuits. Anna l’observa, elle se rendit compte que cette personne était étrange. Premièrement, elle était couverte du haut jusqu’en bas, un foulard pour cacher ses cheveux, un kaïf pour cacher son visage, on ne voyait que ses yeux. Deuxièmement, cette personne portait des bottes avec un peu de boue. Le règlement stipulé que certaines tenues étaient interdite dans le palais. Jarrell et Aziz n’avaient rien remarquées, trop préoccupées. Ils étaient face à la vitre, Anna était derrière eux, pas très loin de l’individu qui était nerveux. Elle se rendit compte, soudainement, que cette personne avait un couteau dans la main. Elle fût prise de panique.

Anna : Je vous interdit de faire ça !

Aziz se retourna et l’individu fonça sur Jarrell, on entendit un cri, puis plus rien.

Cela faisait plusieurs heures que Jarrell était enfermé dans cette pièce, avec des gardes du corps à l’intérieur, également à l’extérieur. Il faisait les cent pas et ne comprenait pas ce qu'il s’était passé. Cela s’était déroulé tellement vite, il avait était escorté rapidement ici. C’était le cas en cas d’attaque, tout le monde protégeaient le roi. Ils attendirent qu'Aziz reviennes. Aziz était parti avec l’individu qui avait essayé de le poignarder. Si Anna n’avait pas criée, il serait probablement mort. Il ne compris pas sa réaction et ne compris pas pourquoi elle l’avait sauver. Il commença à se demander si il ne l’avait pas jugé trop rapidement. Elle avait probablement dû être arrêté en même temps que l’individu. Jarrell irait la voir pour enfin avoir des explications, si tentait qu’elle veuille lui en donner. Il avait été extrêmement dur avec elle, sa haine avait pris le dessus.

le lien éternel tome IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant