chapitre 15

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Jarrell se mit à paniqué et se précipita dans les écuries. Il se demandait si elle avait osée ouvrir la porte. Il espérait que non, il ne voulait pas qu’elle puisse se blesser, il y alla la boule au ventre. Il entra dans les écuries et il entendit la voix mélodieuse d’Anna. Elle était en train de chanter, il suivit cette voix et son angoisse se fît sentir, quant il se rendit compte qu’elle était dans le box de Nour. Quant il ouvrit la porte du box, il n’en crut pas ses yeux. Anna était si proche du cheval, qui habituellement ne supporte pas les êtres humains. Quant elle se retourna et qu’elle le vit, son cœur s’accéléra, le cheval dû le ressentir car il se mit sur ses deux pattes et se mit à hennir. Jarrell entra à l’intérieur du box, il la pris par le bras puis la tira à l’extérieur toute en fermant le box derrière lui. Elle se retourna en fronçant des sourcils et se frotta le bras.

Anna : Non mais ça ne va pas ! Vous m’avez fait mal.

Jarrell : C’est toi qui ne va pas bien, tu aurait pu te faire tuer !

Anna : Et après ?

Il était extrêmement en colère et elle ne comprenait pas pourquoi. Après tout, c’était lui qui lui avait fait de la peine et non le contraire. Comment pouvait-il en plus de cela venir lui crier dessus ? Il voulut s’approcher d’elle mais elle recula de plusieurs pas.

Jarrell : Il est extrêmement dangereux !

Anna : Vous lui avez fait peur et pour être tout à fait franche avec vous je me demande bien qui est le plus dangereux des deux, vous ou lui !

Le vouvoiement qu’elle employa était une torture pour lui.

Jarrell : Anna.

Anna : Vous allez m’écoutée pour une fois.

Elle respirait difficilement, il s’en rendis compte ce qui le calma aussitôt.

Anna : Je sais que je n’avais rien à faire dans votre bureau et j’ai malheureusement écoutée votre conversation. Et finalement j’en suis heureuse, je préfère savoir les choses. Je ne représente rien pour vous et cela n’est pas un problème. Après tout, je n’ai jamais représentée quoi que ce soit pour personne à part mon petit frère. Je souhaiterais seulement reprendre mon travail, je souhaite terminer le plus rapidement possible et rentrer chez moi.

Jarrell voulu dire quelque chose mais elle le stoppa de sa main. Afin de continuer un peu plus calmement.

Anna : Vous comme moi savons pourquoi j’ai besoin de travailler et que j’ai besoin de cet argent. Si cela ne tenait qu’à moi et si je n’avais pas été malade, je peux vous assurer que vous ne m’auriez plus jamais revu. Ce n’est plus qu’une question de temps afin que je puisse partir.

Elle fît quelques pas en direction de la sortie puis se retourna et lui fît face. Elle lui infliga la pire des tortures, quant elle s’inclina, avant de s’en aller. Elle avait mis un rempart entre eux. Que pouvait-il faire maintenant ? Il était désemparé, il lui avait fait de la peine et même plus que cela. Quant il l'avait vu respirer difficilement, il se rendit réellement conte que cela avait impacté son cœur.
Anna avait pris une douche, elle avait mis une nuisette noir extrêmement longue. Elle se fît une tresse avec ses long cheveux et se dirigea vers la coiffeuse qu’elle ouvrit. Elle sortit le coffre en argent qui était à l’intérieur et l’ouvrit. Il y avait énormément de pièces et de billets à l’intérieur, voilà toutes les économies d’une vie. Il lui manquait encore un peu d’argent, afin de pouvoir se payer l’opération ainsi que les traitements. Elle avait économiser longtemps, elle c’était restreint sur presque tout. Elle prit le bout de papier qui était à l’intérieur et l’ouvrit. Il y était noté plusieurs mots, chaque restriction qu’elle avait fait au cours de sa vie. Chaque fois qu’elle voulait s’acheter quelque chose, elle le noter à l’intérieur. Cela valait le coup, elle ferma le petit coffre et le remis dans la coiffeuse. La vie était tellement étrange, c’est ce qu’elle s’était dit. Elle qui avait toujours été solitaire, il avait fallu qu’elle tombe amoureuse de la seule personne dont il ne fallait pas tomber amoureux. Non pas seulement par ce qu’il était roi mais probablement par ce que c’était un homme à femmes qui ne se préoccupé pas des sentiments des autres. Elle aurait pu pleurer davantage mais à quoi bon. Anna ferma les yeux un instant et défit sa tresse afin de se recoiffer. Quant elle se retourna elle se rendit compte que Jarrell était là. Elle ferma les yeux plusieurs fois afin d’être sûr de ne pas rêver. Comment était-il entré ? Elle n’avait rien entendu, depuis combien de temps était-il ici ? Au bout de quelques secondes elle reprit ses esprits et s’inclina, ce qui lui envoya une flèche en plein cœur.

le lien éternel tome IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant