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Chaque filles, petite rêve d'une relation complice avec sa mère et dire que ce ne fut pas le cas pour moi serais mentir. Nous étions proche avant quand, elle avais besoin de moi pour m'occuper de ma petite sœur ou encore il y a quelques mois de mon petit frère, seulement j'ai osais rêver trop grand, d'avenir, d'études, de vie de couple, mais au lieux de me soutenir elle m'a montrer que les rêves sont justement que des rêves. Lorsque  l'on grandi, ils nous plus leurs place dans notre vie, en tout cas pas dans la mienne. Cela semble si absurde qu'une mère ne souhaite pas voir sa fille heureuse, seulement  tout arrive dans la vie.  Le plus drôle c'est qu'au finale, c'est moi qui est sois-disant malade, et devrait voir des spécialistes, mais non elle veut pas. Surement la peur de voir que c'est pas moi qui suis malade. Parfois j'aurais préféré avoir une mère qui me comprenne et non qui me rabaisser tous le temps pour se sentir supérieur, elle n'a pas eu une enfant facile selon c'est dire, mais lorsqu'on parle avec la famille tout les discours diffère au final qui croire? Une chose est sur c'est que mes enfants ne vivrons pas ça, car normalement quand on est parents, on pense au bonheur de nos enfants. J'ai des envies de voir ailleurs, de partir, ,ne plus subir tout cela seulement, chez nous la famille c'est important, même si pour elle je ne suis que la fille, qui ne cesse de se plaindre, ou qui est malade, c'est la famille. On abandonne pas la famille, et ça on me la toujours dit, peut-être lâche pour certains, mais c'est comme ça.  Une fois les études finis, un travail trouvé plus rien ne pourra m'empêcher de partir, vivre ma vie et mes rêves. En attendant, je ne peut que réaliser celui d'écrire.


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J'ai battus mon records de mots, en voici donc 325, incroyables non?

L.L



Esprit LibreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant