vinte quatro.

5K 609 686
                                    

@MadeInCongo_ production🧚🏾‍♀️

Vinte quatro.

Vinte quatro

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

__


J'ai fléchi les genoux. Et je me suis déplacée tel quel jusqu'à ce que je finisse par arriver à son niveau.

Il gigotait sur le sol, tandis que la panique me saisissait lentement.

Du sang s'échappait de son épaule, et mes mains étaient toujours posées devant ma bouche.

— Pourquoi t'as fait ça ?!

Keenan - Argh... putain. Stoppe l'hémorragie Abby, fais un bail pour stopper l'hémorragie...

— Commence par arrêter de bouger comme ça, d'accord ? Arrête de bouger, reste calme et respire calmement, surtout ça.

Je me suis levée en vitesse pour aller chercher le matériel nécessaire pour stopper son hémorragie. Et je l'entendais même gémir de douleur quelques fois.

Keenan - Doucement Abby...

— Mais pourquoi t'es là Keenan putain ?! Regarde comment il pleut dehors, ils nous ont conseillé de rester chez-soi ! T'es un malade, t'es tout mouillé tes vêtements collent à ta peau j'arrive même pas à te soigner correctement ! Non mais- non mais tu m'énerves !

Je passe ma main sur mon visage.

— Déshabille-toi. Je sais pas, fais un truc. Enlève ton haut, enlève ton pull- et puis quelle idée de venir aussi peu vêtu ?! Tu crois t'es le Grinch ou quoi ?!

Keenan - Pourquoi tu cries ?

— Je t'ai tiré dessus putain ! On aurait pu éviter ça si tu m'avais prévenu que tu venais, mais toi tu débarques comme un voleur ! Je te promets que j'ai la haine de toi !

Keenan - Mais ? J'ai maaal, Abby j'ai mal !

— *soupir* Déshabille-toi. Enlève tes vêtements du haut, fais un truc.

Keenan - Ouais bah c'est vrai qu'à une main je me déshabille flex hein.

Je souffle, avant de poser ma main sur le haut de son sweat et de le retirer lentement, sous ses cris.

J'ai ensuite retiré son teeshirt de la même manière, et il a serré les dents tellement fort que je suis presque sûre qu'il s'en est cassé une.

Je me suis par la suite assise sur lui, de façon à pouvoir atteindre le haut de son épaule sans qu'il ne fournisse aucun effort particulier.

«L'amour était ma base» [II]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant