Je n'avais vraiment pas remarqué, je m'en veux de m'être loupé sur ce coup-là.
Jungwoo : Winwin...il faut qu'on parle.
Sicheng : C'est bon, pas besoin de mots pour se comprendre. Je l'avais remarqué dès que je t'ai vue, et ça se sentait tellement dans ton chant...
Je n'arrive pas à comprendre, comment lui, un homme qui s'est -d'après Wikipédia- intéressé depuis son plus jeune âge à la danse, peut-il souffrir ? N'a-t-il pas atteint ses rêves ? Non, ça ne doit pas être ça le problème.
Jungwoo : Je...mais comment toi ?
Winwin : c'est long à expliquer, et inintéressant aussi. Mais toi je veux t'aider.
J'éclate de rire devant sa déclaration, tout simplement parce que c'est impossible. Je suis conscient qu'il y a beaucoup d'autres personnes qui ont bien plus besoin d' « aide » que moi, et je me méfis de tout et n'importe quoi, personne n'a sa place dans mon cœur, c'est ma règle d'or pour ne pas souffrir encore plus qu'actuellement.
Car oui, ça m'a vraiment brisé quand j'ai compris que mes parents ne m'aimaient et ne m'aime encore maintenant que par intérêt. Autrement dit, ils m'ont pendant un temps complètement délaissé quand j'avais le plus besoin d'eux, c'est-à-dire quand j'ai appris que j'étais atteint de cette maladie. Et par jalousie, ma fratrie ne m'a jamais accepté dans leur cercle familial. En d'autre terme, j'étais seul. Complètement seul, et c'est à ce moment-là que je me suis rendu compte de l'hypocrisie de mes liens avec les personnes qui m'étaient les plus chères. Mes parents, que j'ai connus depuis mon berceau, les personnes les plus importantes dans la vie d'un enfant. J'avais six ans, j'étais en CP, et j'avais déjà tout perdu. Inutile de préciser que le mot « amis »ne fait pas partie de mon vocabulaire, puisque je n'en ai jamais eu. Wong Sicheng fait partit de ma catégorie « inconnu » et après un temps de réflexion, je reviens sur ma réponse initiale :
Jungwoo : Ce ne sera pas nécessaire, merci.
Oh, j'avais oublié de préciser que j'évite aussi de parler même si depuis ma chute je fais exception car j'ai besoin pour communiquer avec ces inconnus. Winwin retrousse le nez et fronce les sourcils.
Winwin : C'est pas bien de mentir.
J'avoue être sur le point d'accepter en voyant son regard fragile et ses petites pommettes me sourire, mais nous sommes coupés par Yuta qui ouvre la porte à la volée.
NDA : C'est la fin de cet épisode que je trouve pas top-top, mais j'espère que vous me pardonnez :__(
-COMMENTEEEEZ !!! (>//<) (>//<) (>//<) J (je m'amuse à faire mes réponses et celles de Junguwu de ma ff quand vous parlez)
-excusez les fautes d'orthographe et ma rédaction (s'il y en a une qui vous dérange trop, n'hésitez pas à me dire)
-j'aimerais bien avoir des critiques, ça m'aiderais à m'améliorer au cour de l'histoire
-j'espère que vous aimez
-je ferme mon clapet
Merci d'avoir lu
Bisu baveux*
PS : je suis désolée si j'ai blessée certaines personnes en faisant cet épisode sur les parents de Junguwuuuuu pour les personnes qui ont eu des moments difficiles quelconque durant leur vie avec les leurs, dites le moi pour que j'essaye de me faire pardonner et m'excuser une nouvelle fois pa la même occasion :__(
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oupsi! luwoo
Fanfiction~ Quand la vie s'acharne sur jungwoo et sa voix de dieu, mais qu'elle se goure dans le mauvais carma qu'elle lui a destiné ~ ------->LUWOO<--------- /NCT/SHIP/BL