~Chapitre 4~

1.3K 62 9
                                    

Précédemment : 

Alors la j'ai tiré le gros lot. Avec une vielle femme qui critique tout ce qui bouge et les jumeaux Weasley. Bravo Hermione. 

________________________________________________________________________________

-Salut. 

-Bonjour Hermione... Commence l'un, qui je suppose, est George. 

-Comment vas-tu ? Termine l'autre, qui je suppose, est Fred. 

-Bien et vous ? 

-Très bien. Dit Fred 

-Impeccable. Dit George. Mais que fais-tu l'as ? Nous croyions que tu étais partis avec Ronni et Harry ? 

-Oui c'est vraie, mais on m'a demandé de revenir pour vous surveilliez. Dis-je avec un sourire en coin. 

-Tu vois Feorge, je te l'avais dit qu'hermi-jolie abandonnerais notre petit frère pour nous, les parfait jumeaux Weasley. 

-Et bien tu avais raison Gred. Mais qui ne voudrais pas de nous, après tout nous sommes incroyablement beaux, gentils, drôles. Nous sommes parfaits en un mot. 

-Ca va les chevilles vous deux ? Dis-je avec un sourire. 

-Très bien... Dit George en les regardant. 

-Merci de t'en soucier. Finit Fred en imitant le geste de son frère. 

-Ho et il y a bien une personne qui ne voudrais pas de vous. 

Les jumeaux prennent un aire offusqué et disent en même temps. 

-Qui ?

-Votre tante Muriel. 

-Hooooo, elle... Commence Fred. 

-Mais c'est l'exeption qui confirme la règle. Termine George. 

-Vous connaissez cette expression moldu. Dis-je étonné. 

-Et oui ma chère. Dit George alors que son frère acquiesce 

-Bon ta compagnie ne nous dérange pas, loin de là...Dit son jumeau

-Mais il est l'heure d'embêter notre magnifique tante. Termine l'autre jumeaux. 

Ils me claquent un bisous sur une joue et s'en vont. 

-Toujours les mêmes c'est deux là. Dis-je en ouvrant la porte. 

La pièce est simple, un lit, une commode et un bureau. Je met mon sac sur mon lit pour sortir mes affaires et les ranger. 

Quelques temps plus tard je descend après avoir ranger mes affaires et voie tante Muriel. 

-Ha tu es là, ce n'est pas trop tôt. Tu t'occuperas du dîner de ce soir ! 

-D'accord mais la prochaine fois appeler moi, je ne suis pas télékinésiste. 

-Télé quoi ? 

Je me dirige vers la cuisine et prend un ver d'eau et me fait un sandwiche. Une fois mon repas réalisé je m'apprête à le manger quand deux fauteur de troubles arrivent et s'assoient en face de moi. 

-Tu te fais à manger sans nous prévenir...Commence l'un. 

-C'est criminel. Termine l'autre. 

-Oui ben maintenant que vous êtes là faites vous vous faites à manger comme des grands. Dis-je exaspérée et en mordant dans ma tartine. 

-Tu as entendu Fred, notre hermignione nous a fait un compliment. Dit-il avec un grand 

-Ce n'était pas du tout...Leur dis-je mais on me coupe la parole. 

-Oui j'ai entendu George, c'est un grand jour. Dit-il avec le copier collé du sourire de son frère.

-C'était pas un compliment. 

-Peu importe mais...

-Vous là, préparée moi quelques chose, j'ai fin. 

Mais qu'est-ce qu'elle m'ennuie c'est pas possible. Elle n'a que se lever. On n'est pas ses servants ! Et puis elle pourrais être plus polie ! 

Aux regards des jumeaux, je suis persuadée qu'ils pensent la même chose que moi. Mais un sourire se dessine rapidement sur leur visage, et ce sourire n'annonce rien de bon. 

-Mais très chère tante, nous ne sommes pas tes serviteurs... Dit George. 

-Et tu pourrais au moins dire s'il-te-plait. Dit Fred 

-La politesse se perd de nos jours. Dirent-ils en même ton. 

Je ris face à leurs répliques. Et eux me souris fier d'eux. Nous entendons Muriel se lever et arriver dans la cuisine. 

Il y a peut-être un espoir pour cette cause désespérée. 

J'ai beaucoup de mal à cacher mon sourire donc je croque une deuxième fois dans mon sandwich. Mais Fred et George ne font aucun effort pour cacher les leurs. 

-Toi. Dit-elle en pointant son doigt sur moi. Fais le moi !

-Un s'il-te-plait serait le bienvenue. 

Les jumeaux on leur sourire qui s'agrandit. Mais leur tante réplique. 

-Tu le fais, maintenant ! 

Nous nous défions quelques secondes du regard. Jusqu'à ce que je me lève et lui prépare son sandwich. 

Plus vite c'est fait, plus vite elle sera partie. 

Je lui donne son sandwich avec un sourire ironique et le lui donne. 

-Tenez votre sandwich. Dis-je le plus gentillement  possible. 

Dans ce sandwich, voyez vous, il n'y a que du beurre. Après tout elle a juste dit qu'elle voulait quelque chose à manger, elle n'a jamais dit ce qu'elle voulait précisément. 

Les jumeaux dissimulent leur rire et leur affreuse tante m'envoie un regard noir avant de partir. Avec le sandwich je précise. 

Je m'assoie sur la chaise qui j'occupais avant que cette mégère arrive et sourie très fier de moi. 

-Hermi-joli tu as fait fort. Dit George avec un sourire jusqu'aux oreilles 

-Nous n'aurions pas fait mieux. Dit Fred avec le même sourire. 

Je leur rendit leur sourire et continue de manger. 

Les jumeaux se regarde et hoche la tête et deviennent sérieux. Je les regarde en fronçant les sourcils 

-Pourquoi est-tu là ? Me demande Fred. 

J'aurais voulu leur répondre par "car j'avais faim" mais je n'en ai pas le coeur. Mon sourire s'estompe en repensant aux évènements qui m'ont amener ici. 

-Ils sont partis sans moi pour me protéger. Dis-je en évitant leurs regards.  

Voyant que je ne voulais pas en discuter. George lance une blague qui détend l'atmosphère. Néanmoins, je vois Fred me regarder avec un regard doux. Et nous discutons de choses et d'autres en oubliant tante Muriel, l'abandon de Ron et de Harry, la guerre,... 

Le soir est passé et je suis sur mon lit en me préparant pour la nuit et en repensant à la soirée. Fred et George n'arrêtaient pas de faire la misère à leur tante et ce n'est pas moi qui va leur en empêcher. J'ai rie du début à la fin. Ca m'a fait un bien fou. Au final, peut-être que le temps que je resterais ici sera plus agréable que je le pensais. Mais j'ai bien remarqué les regards qu'ils s'échangeaient parfois. Mais j'ai surtout remarqué le regard que Fred a pour moi. Un regard doux qui exprime de la compassion, du courage, de la gentillesse et du réconfort. Je regarde l'heure. 21h03. Allez Hermione tu n'as pas le choix. Je lance un sortilège d'insonorisation et bois le contenu fiole qui est sur ma table de nuit. Et je m'endors suite à cela en espérant que personne ne se rendra compte de mes cris. 

Ma lueur d'espoir dans cette guerreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant