Ma lueur d'espoir dans cette guerre

~Chapitre 8~

Hey. J'espère que ça va ?? On se retrouve avec un chapitre sur le point de vue de Fred. Petite précision ses pensées sont en italiques. Sur ce bonne lecture. :)

Précédemment : 

Non. Dis- je en sentant mes larmes coulées. Je ne reverrais jamais mes parents...Le sort...Il est...Il est... Il est...Il est irréversible. Dis-je en éclatant en sanglots une bonne fois. 

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L'impuissance. Vous connaissez se sentiment atroces ? Ce sentiments qui vous fait ressentir que vous êtes incapable d'aider un proche. De voir ce proche souffrir mais que vous ne pouvez rien faire pour l'aider. Moi, je l'ai rarement ressenti. Mais lorsque j'ai vue Hermione en crise de panique. Incapable de respirer correctement, tremblante, totalement sans défense. Je l'ai ressentie fort, trop fort. J'ai du envoyer un patronus à Tonks pour qu'elle vienne la calmer. Puis elle a hurlée. Merlin, Morgane, les fondateurs et qui vous voulez. On aurait dit qu'on la déchirait de l'intérieur, que ce mal-être qu'elle ressent est une douleur psychologique et physique. Puis Rémus et Nymphadora sont arrivés et elle s'est évanouie. George l'a mit dans son lit. Et moi, je suis resté pétrifié, face à sa crise. Nous savions qu'Hermione n'allait pas bien, mais à ce point là. Non nous ne le savons pas. Pourtant j'aurais dû le savoir, moi qui l'ai consolé le premier soir. J'aurais dû me douter que ce n'était qu'une infime partie de l'iceberg. George raconte à Tonks et à Rémus ce qu'il s'est passé. Tonks est plus blanche qu'un spectre. Puis Rémus fait par de sa théorie qui nous étonne tous. Une dépression. Hermione ferait une dépression. Et dire qu'il y a à peine quelques heures elle imitait tante Muriel et qu'on avait eu un fou rire mémorable. Mais est-ce que tous ça était vraie. Ses sourires, ses rires ? Cachait-elle sa peine derrière de faux sourires ? Il n'y a qu'elle qui peut nous le dire. Le couple veille sur elle jusqu'à ce que la réunion de l'ordre commence. George y a hésiter à y allez, je le voie. Mais je lui assure que je resterais et qu'au moindre changement je l'avertirais. On ne dirais pas, mais George tient énormément à Hermione. Il l'a considère comme ça soeur. Alors imaginé votre soeur en crise de panique très violente et que vous ne pouvez rien faire. Là, vous pouvez comprendre ce que George a ressenti. Mais moi. Hermione est plus qu'une soeur, je ne sais pas vous dire ce que je ressens car moi même je suis perdu. 

Ca fait une demi heure que George, Rémus et Tonks sont partis assisté à la réunion ça fait trente minutes, que je repense au fait qu'Hermione fait probablement une dépression. J'ai bien vue que Rémus et Tonks savent des choses que l'on ne sait pas, mais qui sont capitales. D'ailleurs je suis sûr que George pense la même chose. Je leur demanderais des explications et ils ont intérêt à m'en donner. 

Je me retourne et vois qu'Hermione est réveillée, je ne vais pas allez prévenir les autres car elle doit être dans les vapes et que je veux lui parler. 

Je m'approche d'elle et lui caresse les cheveux dans l'espoir que ça la détende. 

-Tu nous as fait une grosse frayeur toute à l'heure. Dis-je en continuant de lui caresser les cheveux. 

-Désoler. Articule t-elle difficilement. 

-Tu m'avais fait une promesse, Mione. Dis-je avec une once de tristesse dans la voix. 

-J'ai essayé...D'aller vous prévenir...Mais je me suis écroulée avant... Je suis désolée. 

-Hermione, ce n'est pas de ta faute, tu as fait une crise de panique très violente. J'au dû appeler Rémus et Tonks, car George et moi nous ne savions pas quoi faire. T'arrivais plus à respirer Mione. Tu tremblais trop fort et on ne savait pas comment tu aurais pu réagir si on t'avais touchée... Mais par les fondateurs, qu'est-ce qui t'as mis dans cette état ? Dis-je triste. 

Après lui avoir dit ça elle se jette dans mes bras. Et je lui rends son étreinte. 

-Je ne me suis sentie jamais sentie aussi impuissant Mia. Je te voyais complétement paniquée et on savait rien faire. Ne me refais plus jamais une peur comme cela. 

 Elle ne me répond pas, je la sers davantage plus fort. J'en avais besoin. 

-Je me sens seule Fred...Comme jamais auparavant...Sans Harry, Ron...Mes parents...Je ne mes reverrais plus jamais. Dit-elle. 

Je caresse son dos en espérant la rassurer et lui dit. 

Tu n'es pas seule Mione, il y a plein de monde autour de toi. Mais ça me blesse que tu penses cela. 

Je lui caresse le dos pour la rassurer et lui dit. 

-Tu reverras mon frère et Harry et tes parents Hermione, quand tous sera fini. 

-Non. Dit-elle en laissant ses larmes coulées. Je ne reverrais jamais mes parents...Le sort...Il est...Il est... Il est irréversible. Dit-elle en éclatant en sanglots une bonne fois. 

Ho non . 

Je suis sous le choque. Comment on peux supporter ça ? Comment elle l'a pas éclaté avant ? Rémus avait raison, Hermione fait une dépression. Je la sens pleurer sur mon épaule pendant que je lui caresses le dos. Néanmoins je sais qu'elle ne nous dit pas tout. Je l'admire, ma mione, pour sa force et son courage. Et je refuses de la perdre. Je ferais tous pour l'aider et je suis sûr que je ne serais pas le seul. 

Plusieurs minutes passent et rien n'avait changé, elle pleurant toujours à chaude larmes et moi en lui caressant le dos incapable de parler. 

J'aimerais tellement la rassurée, mais je ne sais pas comment faire. Putain. Je suis un incapable. Un con. Un incapable con impuissant. 

Hermione se calme petit à petit. Elle me demande. 

-Tu crois...Que l'ordre est toujours en réunion ? 

Je la regarde en fronçant les sourcils. 

-Je sais que tu veux aidée mais je ne crois pas que tu en sois capable et en état. 

-Je veux juste voir Tonks, Rémus et George. S'il te plait. J'en ai besoin. Dit-elle en me suppliant. 

Après tous ils ont demandé à être informés de son état. Et puis comme ça George et moi pourrons en savoir un peu plus. 

Elle se détache de moi et essaie de se lever, sans succès car elle a un vertige et retombe immédiatement sur le lit. 

-Je vais les chercher. Dis-je en me levant. 

-Non ! Dit-elle en m'attrapant le poignet. Ne me laisse pas, s'il-te-plait. 

Je me retourne et lui embrasse le front et la prend dans mes bras en mode princesse pour qu'on descende. 

Jamais Mia, jamais je ne te laisserais. 

Nous descendons les marches et nous nous dirigeons vers le salon, là où se déroule la réunion. Une fois arrivé tous le monde se tait. Mais Tonks et George se mettent debout. Je la repose par terre en la soutenant par la taille au cas où et Tonks la prends dans ses bras. 

La métamorphomage emmène Hermione dans un autre endroit. Et la réunion reprends. 20 minutes plus tard, la réunion est fini et Hermione et Tonks sont revenues. Je vois que Rémus veut amener le sujet dépression sur la table. Mais il se lance et lui dit. 

-Hermione. Dora t'a t-elle parlé de ce qu'il t'arrive ?

C'est pas vraiment la meilleur façon de le dire mais au moins elle a comprit. 

Elle répond par la négative. Rémus regarde sa femme d'un aire grave et cette dernière baisse les yeux. Moi je ne suis pas capable de lui dire. Son regard dévie vers moi pour essayer de comprendre. Finalement c'est George qui prends la parole. 

-On pense que tu fais une dépression. 

Le tact légendaire des Weasley.