- C'est ce qu'on appelle le Trouble de la conscience et du subconscient magique.
Harry la fixa, ne sachant pas comment réagir. Il passa sa main dans ses cheveux en bataille tandis que la rousse lui tournait obstinément le dos.
- Bon sang, Ginny. Pourquoi ? Pourquoi n'avoir jamais rien dit ?
- Tu crois qu'il donnerait la garde a une femme qui entend des voix ? Qui peut s'énerver en prenant la personne pour quelqu'un d'autre ?
- En quoi consiste exactement le trouble ? demanda Harry, en préférant évité le sujet Teddy en voyant déjà Ginny se mettre en colère.
Elle se tut, puis se resserra un vers de vin sous les yeux rébrobateur d'Harry. Ensuite elle s'assit, a l'autre extremité du canapé et fixa le vide.
- Ma conscience et mon subconscient peuvent parfois réagir. Tout a l'heure quand je suis partie, c'était la première fois que je les entendais depuis une éternité, je pensais m'être débarrassé de ça. Quand une scène ou un moment me rappel trop le passé, je confond parfois avec la réalité et c'est ce qui provoque mes crises, balbultia Ginny.
Harry resta silencieux en devinant qu'elle n'avait pas fini.
- Parfois cela me pousse à en vouloir à des personnes, tout simplement parce que tout ce qui est a l'intérieur de moi me répète que ces leurs fautes.
- Donc tu ne m'en veux pas vraiment ? hésita le brun.
- Ce n'est pas aussi facile, claqua sèchement Ginny, elle but, puis repris d'une voix plus posée.
- Pour une raison ou une autre la conscience ou mon subconcient a visiblement décidé que ce c'était votre faute.
Elle évita le sujet de sa grossesse, et se tourna vers Harry. Son expression était indéchiffrable, et cela la perturba encore plus. Le silence s'installa dans la suite, et Ginny n'aurait su dire si il était de nature gênante ou non car elle était totalement plongée dans ses pensées.
- Tu les entends, la maintenant ? questionna Harry après quelques minutes.
Elle lui montra le verre de vin avec un sourire ironique.
- C'est a ça que ça sert.
D'une traite elle fini son vin, avant de monter les escaliers laissant Harry seule, et avec encore plus de questions qu'il n'en avait jamais été.
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Harry signa sa plainte devant les yeux attentif du secretaire. Il allait surment empoché un pactol pour parler de cette histoire à la presse, et pourtant, pour une fois, Harry ne se donna même pas la peine de le payer pour son silence, il n'en avait plus rien a faire.
Il rejoignit Harper au département des Aurors, et ceux ci découvris qu'il n'était assigner qu'a ranger quelques dossiers, et faire quelques interrogatoires. Harry ne réflichissait même pas à ces gestes, tout étant devenu automatique depuis le temps. Il lui tardait seulement de pouvoir se rendre chez Fleury & Bott pour récupéré l'ouvrage qu'il avait commandé.
Alors qu'il s'apprêtait enfin a rentrer dans une des cheminette de l'Atrium du Ministère son prénom résonna plusieurs fois, il soupira, et lâcha à contre cur sa place dans la file.
Une pile de dossiers dans la main, Hermione s'activait pour venir le rejoindre. Il la libéra d'une partie de son poids, alors qu'elle l'examinait avec soulagement.
- J'ai cru que j'allais te rater !
- Tu as faillis, marmonna Harry.
- Tu as des nouvelle de Ron ses temps ci ?
Harry la considéra avec speticisme.
- Pourquoi es que tu me pose la question à moi, Mme Weasley ?
- Ne fais pas l'idiot Harry, tu sais très bien que Ron et moi sommes en froid ces temps ci.
- Ca ne change pas de d'habitude, et comme d'habitude je vous dis d'aller régler vos problèmes sans moi.
Hermionne sembla mal à l'aise, et frotta sa chaussure contre le carrelage en évitant de le regarder dans les yeux.
- C'est plus grave cette fois Harry. Si Ron ne tombe pas d'accord avec moi, je crois que que je serais prète à demander à demander le divorce.
- Le divorce ?! s'écria Harry, il faillit lacher les dossiers d'Hermione et plusieurs employer tournèrent un regard vers eux peut élogieux.
- Tais toi !
- Oui, repris Hermione. Cette fois, cette histoire va très loin Harry. J'aimerais que tu lui parless, s'il te plait.
Elle semblait prète a fondre en larme et bien qu'Harry avait pris la résolution il y longtemps de ne pas se mêler de leur mariage, il lui promit d'éssayer de voir la situation.
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Le Trouble de la conscience et de la subconscient magique, atteint surtout les esprit déjà fragilisé. Il s'attaque quelques chose qui est déjà la, même si la victime ne le sait pas.
Harry referma le livre avec frustration et en ouvrit un autre.
Soigner le Trouble de la CS peut prendre des années et les cas qui s'en sorte totalement sont très rare. La récidive est souvent présente surtout si les victimes sont proche des choses auquel s'attaque leur souvenirs. Un psycomages s'occupe souvent de ses cas, bien que son but premier est de minimiser les crises. Le traumatisme des victimes détermine le niveau du Trouble.
Harry fouilla encore une fois la page des yeux, mais rien n'indiquait qu'il puisse aider Ginny d'une quelconque façon. Il passa ses mains plus d'une fois dans ses cheveux et s'y aggripa même quelques fois. Il n'était pas psycomages, ni médicomage et n'avait aucune connaissances en medicines et en psycologie mais pourtant il sentait le besoin d'aider Ginny s'infiltrer par tout les ports de sa peau. Cependant il n'avait aucune idée de comment s'y prendre.
Pourtant il y avait une chose dont il était certain.
Il faisait parti des causes de son troubles.
Et ça le tuait de l'intérieur.
⭐ 960 mots ⭐
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𝐓𝐡𝐞 𝐋𝐚𝐛𝐲𝐫𝐢𝐧𝐭𝐡 𝐨𝐟 𝐭𝐡𝐞 𝐌𝐢𝐧𝐝
FanfictionNotre propre esprit peut-il nous attaquer ? 𝚃𝚛𝚘𝚞𝚋𝚕𝚎 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝙲𝚂 𝚂𝚝𝚊𝚍𝚎 1.𝙰. - 𝙿𝚊𝚜 𝚍𝚎 𝚌𝚛𝚒𝚜𝚎 𝚙𝚛𝚎́𝚜𝚎𝚗𝚝𝚎. - 𝙾𝚌𝚌𝚊𝚜𝚒𝚘𝚗𝚗𝚎𝚕𝚕𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚕𝚎𝚜 𝙲𝚂 𝚙𝚎𝚞𝚟𝚎𝚗𝚝 𝚜𝚎 𝚖𝚊𝚗𝚒𝚏𝚎𝚜𝚝𝚎𝚛. 2...