Chapter 35

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De retour a l'hôtel, elle ne fut pas surprise que le sujet de ses tourments était assis a l'accueil, encore une fois. Le secrétaire ne semblait pas ravi, qu'on vienne envahir son espace personnel, et du fait que Harry s'obligeait a lui faire la conversation.

Il discute....

Ginny se pinça pour faire taire la voix bien qu'elle entendit quand même la fin de la phrase comme si elle l'entendait d'une autre pièce.. Harry était dans une position qu'il lui rappelait facilement la salle commune.

- Potter, cesse d'importuner ton monde et suis moi.

Tandis que le jeune lui adressa un regard reconnaissant, n'ayant visiblement pas envie de parler sport, l'autre la suivit en silence ne répondant même pas à sa pique. Une fois dans l'ascenceur, passsa sa main dans le chceveux pour la millièe fois de la journée, tandis que Potter l'observait comme un psy.

- Tu voulais parler de quoi ?

- Le gala est cette semaine, ensuite tu vas repartir. Et moi, je fais comment avec Teddy ? Pas question que je reste encore des années sans le voir.

- Un je ne t'en ai jamais empêcher, deux je reviens après le gala pour le chemin de Traverse, et trois tu m'a harceler pour me parler pour quelque chose qui semblait déjà régler ? Je te l'ai déjà dit, dés que toi ou Teddy vous voulez vous voir je ne m'y opposerais jamais. Tu prends un porteloin, ou il le prend, mais ne me fais pas passer pour la méchante qui t'empêche de le voir, s'énerva Ginny.

Ils arrivèrent à son étage, et tandis qu'elle passait sa carte pour ouvrir la porte, Harry attendit en silence. Il ne voulait pas se disputer avec elle, la vérité c'était qu'il voulait juste lui parler.

- Ginny je sais que tu ne m'a pas empêcher de le voir, mais s'il te plait, avant de t'enervée écoute moi. J'ai fais des recherches à propos de ton Trouble et -

- Je t'arrête tout de suite, cria t'elle, avant de pourvoir dire un mot il avait une baguette sur le front et et deux mains en l'air. Je ne m'en suis jamais, jamais prise à Teddy, alors si tu veux sa garde, tu ne sors pas de cette chambre en un seul morceau je te préviens, Potter.

Les yeux azur de Ginny faisait accélérer sa respiration, car la façon dont elle le regardait, lui laissait clairement comprendre qu'elle le tuait si il demandait la garde de Teddy. Il prit soin de s'exprimer doucement, ne voulant pas la brusquer.

- Je ne veux pas de la garde de Teddy, Ginny. Je veux juste qu'on discute.

- Ne me parle pas comme si j'allais sauter d'un pont !

Et puis il le remarqua, elle tremblait de tout son corps, sa baguette toujours baissée, tremblait également, et ses yeux semblait soudainement troublé par quelques chose.

- Tu les entends la ? demanda Harry.

Tu pourrais l'avoir juste la.....

Lui faire comprendre ce que tu enduré....

- Non ! hurla Ginny. Prends ma baguette Harry, maintenant.

- Quoi ?

- Prends ma putain de baguette Potter.

Harry posa avec prudence sa main sur son poignet avant de doucement faire glisser la baguette de sa main, il la glissa dans sa poche. Elle se mit a reculer pas à pas, avant de baisser lentement sa main.

- Part. Laissa ma baguette et part.

- Non. J'ai conscience que c'est a cause de moi, tout ce que tu endures. Ou qu'au moin je fais partie des causes, alors je sais que tu ne veux pas de mon aides, mais je vais t'aider. J'ai conscience que je ne suis pas Merlin et que je ne pourrais pas te guérir totalement, mais j'ai juste besoin de savoir que je ne suis pas rester la à rien faire, pendant que tu souffrais.

Il est toujours rester sans rien faire.

La, Ginny était terrifier, elle avait besoin d'air. Elle commençait a avoir du mal à respirer, et son corps continuait de trembler.

- Harry..... Sors d'ici, maintenant !

Elle allait s'éffondré, elle le savait, cela ne servait a rien d'essayer de se reprendre maintenant, tout ce qu'elle pouvait faire maintenant c'était d'évité d'attaquer Potter. Elle n'avait jamais eu de crises très forte avec Harry juste à côté, avant de partir en Amérique elle n'était même pas conscience que les voix dans sa tête venait d'un Trouble. Bien sur elle avait déjà essayer de blesser des gens au milieu d'une de ces crises mais, c'était soit en expérimentation pour voir jusqu'au ou on pouvais la pousser, soit un de ces amis qui avait pris quelques coups. Son subconsient, là, lui suggérait des envies de meurtre qu'elle essayait de repousser par vague.

Ses potions.

Malheureusement elle ne se faisait pas confiance pour se lever et ne pas l'attaquer en cours de route. Ginny devait rester à genoux la tête baissé et essayer de ne blesser personne.

Imagine juste tout ce que tu pourrais lui faire.

Lui faire ressentir ce que les Carrow t'on fait.

Complétement désamparé, Harry essaya de se souvenir des notes qu'il avait réaliser a partir des livres de psycomages. Il ne l'approcha pas, et n'essaya en aucun cas de l'a touchée. Il garda sa baguette prés de lui. Il fallait qu'il trouve ses potions, mais il n'avait aucune idée d'où elle auraient pu se trouver. Ne voyant pas vraiment d'autre endroit, il fouilla le buffet et quelques armoires de la cuisine, mais ne trouva que des potions de sommeils sans rêve, d'anti-douleurs, et d'energie. En essayant de modifier sa voix pour qu'elle soit le plus calme possible, tout le contraire de ce qu'il était maintenant.

- Ou sont les potions ?

Ou est est t'il quand tu te prenais les doloris ?

Quand tu le perdais.

Ce fus la phrase qui fit le plus déraillé Ginny, elle hurla en continu essayant de couvrir les voix qui devenaient de plus en plus forte. Elle couvrit ses oreilles de ses deux mains, et et plusieurs verres partirent en éclats. Harry savait que l'a touché ou essayer de la rassurer, étant une des causes, ne ferait qu'empirer la situation, il se précipita vers la cheminée, et fouilla divers pots pour trouver la poudres de cheminette. Il en jeta a l'intérieur et lut un bout de parpier disposer devant lui.

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𝐓𝐡𝐞 𝐋𝐚𝐛𝐲𝐫𝐢𝐧𝐭𝐡 𝐨𝐟 𝐭𝐡𝐞 𝐌𝐢𝐧𝐝Où les histoires vivent. Découvrez maintenant