rien de bien méchant quand c'est utile.

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On n'était lundi, le premier jour de la semaine, et le jour le plus énervant pour Hinata. Dans l'entreprise, c'était certainement elle la seule à travailler ce jour là. La plupart des autres employés étaient toujours en weekend et ne commençaient que vers huit heures chaque jour.

Mais la hyuga n'avait pas ce luxe. Elle était la secrétaire personnelle du propriétaire de l'entreprise, un vieille homme marqué par le temps et solitaire. De ce qu'hinata savait, ses enfants ne voulaient rien savoir de lui et se tenait le plus éloigné possible. Ils avaient raison. Mais elle avait besoin d'argent.

Hinata finit de classer les contrats de demandes de prêt et se dirigea vers le bureau de son patron. Tout en vitre, en voyait celui-ci discuter calmement au téléphone installé face à son bureau. Elle pénétra dans cogner et déposa les documents en jetant un regard à son chef.

_ Hum hum. Fit le vieillard lorsque Hinata voulu ressortir.

Il lui fit signe de patienter et continua sa conversation.

_ Bien-sûr qu'ils ne peuvent pas s'en charger. Ce ne sont pas des ennemis facile à attraper. S'irrita l'homme. Non, il faut nettoyer la ville et seulement ensuite tu reviendras... D'accord... salut tes parents pour moi.

Il raccrocha et détailla Hinata de la tête aux pieds avant de l'invité à s'asseoir.

_ Monsieur Namikase. Fit la brune en s'installant.

Il arqua un sourcil et massa sa tempe gauche. Tout le monde savait que le vieux Namikase était sourd d'une oreille. D'ailleurs, il lui manquait une bonne partie du lobe, montrant une longue cicatrice sur sa joue et dans son cou.

_ C'est un nouveau style ? Questiona-t-il en indiquant le foulard noué autour du cou d'hinata.

Elle l'avait mis après avoir découvert deux petites morsure ce matin.

_ Heu je...oui, j'ai essayé pour voir. Mentit-elle.

_ Ça ne vous va pas mais soit. C'est vous qui décidez. Parlez moi des contrats.

_ Oui monsieur. En plus des demandes non traitées de la semaine passée il y a trois nouvelles demandes. Il s'agit d'une franchise ayant déjà trois restaurant qui voudrait en rénové un. Nous n'avons jamais traité avec lui mais je pense que ce serait une bonne affaire. Pour les deux autres ils s'agit de jeunes étudiants voulant se lancer dans la mode tous les deux. Mais je ne suis pas très convaincue et aucuns d'eux n'a de garantie.

_ envoyé les réponses et je vous laisse vous occuper des dont pour la franchise. Vous avez carte blanche.

La hyuga acquiesça. Ce n'était pas vraiment une bonne chose, ça lui faisait juste plus de travail.

_ Vous pouvez y aller. Et par pitié débarrassez vous de ce chiffon sur votre cou.

Elle vira au rouge de honte et quitta la pièce aussi vite que possible. Elle traversait le couloir quand elle percuta sans le voir un jeune homme qui s'entretenait avec une secrétaire.

_ oh je suis désolée. Bafouilla-t-elle.

Le jeune l'aida avec des documents qui lui avait échappé, sous le regard moqueur de l'autre secrétaire.

_ Mademoiselle hyuga justement, ce jeune homme voulait savoir si il pouvait avoir un prêt. Expliqua la secrétaire.

_ mais l'heure des rendez vous est passée.  Dit Hinata en grimaçant.

_ Heu oui je sais, je suis désolé de venir si tard. S'expliqua le jeune homme. J'arrive tout juste à New York et je ne savais pas vers qui me tourner.

Les résidents du numéro 66Où les histoires vivent. Découvrez maintenant