Une tasse de café

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Cc, c'est l'auteur. Je voulais juste partager un point de vue. En fait je trouve ça drôle que ce chapitre s'intitule ainsi maintenant que j'ai finit de l'écrire. Je ne sais pas, une tasse de café, est ce que c'est parce que Hinata est devenu serveuse dans un maid à la française ou c'est une référence au fait que l'on boivent du café aussi quand il s'agit de veiller un mort. Je ne sais pas si c'est pareil chez vous mais c'est une coutume africaine lors des veillées mortuaire. Boire du café pour tenir toute la nuit. Enfin c'est tout.

Bonne lecture.

Naruto se baladait nonchalamment sur la longue avenue de Broadway. Il gardait son précieux sabre japonais façonner par sa mère bien en vu sous sa ceinture et sifflotait par intermittence. Contrairement à d'habitude, il sentait que quelques choses préoccupait son compagnon qui le suivait sans rien dire. D'ordinaire, mitsuki aurait déjà fait une remarque sur son comportement trop relâché. Mais Naruto aussi était trop tendu pour osé demander ce qui troublait le jeune garçon.

Ils arrivaient en vue de Times Square ou les illuminations brillaient et scintillaient déjà alors que le soleil se couchait. Le blond s'arrêta et observa les lieux avec nostalgie. Assurément, il ne pouvait pas laisser Manhattan disparaitre. New York était une ville magnifique et il ne pouvait pas l'abandonner aux mains de ses monstre.

_ Naruto. L'appela mitsuki.

Le blond se retourna pour voir le visage de son amie plus démunis qu'un véritable enfant de son âge dans cette situation. Naruto compris que les tourments qui l'accablaient étaient plus importants que ce qu'il croyait. Il attendit en silence que son partenaire continue de parler.

_ On n'a jamais discuter... De la mort de Jiraya.

Naruto se crispa.

_ Moi aussi j'étais mort pas vrai. Alors je me demande, pourquoi as tu pris un tel risque ? Je n'ai pas réussi à protéger Jiraya et tu me choisit uniquement...

_ Stoooop ! Coupa Naruto. Tu n'as pas intérêt à tomber dans le mélodrame ! Je te jure, c'est pas le moment de se relâcher.

_ J'ai peur que Minato ait raison sur ton compte. Tu suis aveuglément la voie de Jiraya.

Naruto se vexa et se détourna en recommençant à marcher.

_ Naruto...

_ Je ne suis pas mon grand père ! Je suis Naruto et je ne suis pas non plus un suicidaire ! Si tu penses vraiment comme mon père c'est que tu n'as jamais compris qui j'étais depuis tout ce temps ! Rappel moi on fait équipe depuis combien de temps déjà !

_ Sept ans. Je n'ai pas envie que tu meurt.

_ Ça ne risque pas. Tu es mon partenaire alors couvre juste mes arrières. J'en ferai autant.

_ Je me donnerai à mon paroxysme pour te protéger.

_ Si tu veux. Mais la priorité c'est d'éliminer ces monstres.

_ Ah bon? Pour moi c'est toi la priorité Naruto.

_ La ferme avec tes belles paroles !

Mais même si ces deux la discutaient plus calmement, dans les autres groupes l'attaque était déjà lancé. Les chasseurs éliminait sans préambule tous les vampires qu'ils croisaient. Leur sous effectif était compenser par une force qu'eux seuls détenait.

Puis un jour...

Dans la capitale française, un petit poste de télévision diffusait le dernier championnat de football dans un café assez réputé.  Une serveuse slalomait entre les tables avec un petit sourire contrit. Les clients excité part le programme faisait à peine attention à elle. La jeune femme arriva derrière le comptoir ou trônait plusieurs machines à café et des pâtisseries et soupira. Elle fixa l'écran avec ennuie juste au moment où une journaliste interrompit la coupe qui se disputait, sous les protestations des clients.

Les résidents du numéro 66Où les histoires vivent. Découvrez maintenant