Akashi x Reader : « Shirotan Kae » [Kuroko No Basket]

▪︎ Chapitre 5 : « Qui est-elle ? » ▪︎

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1500 mots. (Oui, il est plus court que d'habitude. Le prochain sera plus long ! )
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Présent.

(T/P) défiait la montre en ne se préparant qu'au dernier moment. Elle enfilait son nouvel uniforme en prenant soin de ne pas faire de plis et descendit les escaliers à toute vitesse en insultant mentalement son nouveau capitaine de l'avoir fait autant courir la veille.

« -Je ne dois pas te ménager parce que t'es une femme, c'est ce que tu as dit, non ? »

-Saleté de Yato. grommela-elle.

Elle eut la surprise de retrouver son père dans la voiture, lui qui sortait peu depuis la mort de sa mère.

-Bonjour, père. le salua-t-elle. Vous sortez aujourd'hui ?

-Je vais retrouver un ami de longue date. 

-Je vois. C'est bon de te voir prendre l'air.... papa. tenta-t-elle.

Il ne répondit rien donnant simplement l'ordre au chauffeur d'y aller.

-Je peux au moins connaître le nom de mon lycée maintenant ? demanda (T/P).

Son père ne put s'empêcher de rire.

-C'est vrai que tu ne le sais pas. Tu n'avais pas qu'à perdre au shogi, (T/S). s'exclama l'homme d'affaire.

Elle aimait le voir aussi détendue.

-Je deviendrai meilleure, tu verras. lui promit-elle.

-Ton lycée s'appelle Rakuzan. Je veux que tu sois minimum dans le top dix. exigea le père de la (C/C).

-Dix ? Il est aussi réputé que ça ? s'étonna-t-elle.

-Oui, c'est l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur.

-Si j'arrive dans le top trois, je veux pouvoir sortir où bon me semble, bien sûr à des horaires raisonnables. réclama la jeune fille.

Il était clair qu'avec seulement deux heures de pratique par semaine avec sa nouvelle équipe, elle n'allait pas pouvoir tenir tête à ses anciens camarades de jeu.

-On en rediscutera au moment venu.

Le chauffeur se mit à ralentir au bout d'une heure de trajet, cette année-ci, la (C/C) n'allait pas jouer les modestes pour se taper plus d'une heure de trajet en métro.

Elle descendit de la voiture sans l'aide du chauffeur et alors qu'elle allait refermer la porte, son père l'interpella. Elle se tourna vers lui.

-Tu es magnifique (T/S). la complimenta-t-il. Je suis sûre qu'elle serait fière de te voir ainsi. 

Ses mots la touchèrent en plein cœur.

-Je vous vois venir père, vous préparez un coup fourré. répliqua-t-elle.

Il ne la contredit pas et partit dès que la jeune lycéenne eut fermé la portière.

« Je le connais par cœur... »

En regardant son lycée, la jeune fille ne pouvait que constater son prestige, elle y entra avec la ferme intention de le conquérir.

-Vous avez vu, il y a un membre de la génération miracle dans notre lycée !
put-elle entendre dans son dos.