Une fois à genoux Bazile commence à passer sa langue sur le gland d'Orion puis le prend rapidement en bouche pour le travailler comme elle sait si bien le faire.
Rapidement il est noyé dans le plaisir et ne désire qu'une chose: qu'elle cesse de prendre son temps pour le torturer et qu'elle accélère pour en finir avec cette tension sexuelle insoutenable.
Pour la guider il place sa main à l'arrière de sa tête et l'encourage dans ses vas et viens.
La jeune femme se laisse faire en suivant le mouvement et continue de faire de son mieux en utilisant ses mains, sa langue et ses lèvres.Généralement elle aime en effet laisser le plaisir en être presque douloureux en variant la vitesse, mais cette fois il ne la laisse pas faire en continuant de guider sa tête pour qu'elle garde ce rythme délicieux.
A chaque va et viens il l'a fait aller un peu plus loin, l'empalent toujours un peu plus sur sa queue.
Bazile est d'abord très à l'aise, ayant l'habitude de ce genre de pratiques et sachant qu'elle en est douée, mais plus les secondes passent et plus elle ressent une gêne à être menée plus loin et à sentir son pénis se rapprocher de sa gorge.
Elle cesse alors d'utiliser ses mains et en pose une au sol et l'autre sur la cuisse d'Orion pour se maintenir et se concentrer.
Mais alors son sexe est presque entièrement enfoncé dans sa bouche et à la sensation qu'elle va étouffer. Elle n'aime pas ça. Elle aimerait qu'il arrête et la laisse faire mais il commence réellement à prendre du plaisir et pousse de petits râles bestiaux alors elle accepte.Mais lorsqu'il est à deux doigts d'être entièrement enfoncé en elle, prenant l'intégralité de sa bouche et une partie de sa gorge cette fois Bazile ne peut plus. Elle étouffe et cela lui donne envie de vomir. Elle veut arrêter et pose ses deux mains sur les cuisses de l'homme pour le repousser mais elle n'est pas en position de force et il ne bouge pas d'un pouce, trop plongé dans son plaisir, et accélérant encore ses va et viens.
La torture devient insoutenable. Bazile veut arrêter. Elle aimerait dire son safeword mais évidemment c'est impossible.
Les yeux de la jeune femme se révulsent presque et des larmes en coulent à cause de l'étouffement. Son visage rougit. Elle sent qu'elle ne vas plus tenir.
Elle veut qu'il la lâche! Elle veut arrêter! Elle ne peut plus respirer et sa gorge n'accepte pas cette intrusion.
Elle sent que son estomac ne va pas tenir le coup.
Il faut qu'il arrête! Il faut qu'il arrête!Alors dans un dernier élan de force elle le repousse violemment en enfonçant par réflexe ses ongles dans ses jambes, le faisant enfin réagir. Il recule alors et lâche sa tête mais c'est trop tard: Bazile vomit ses tripes sur le carrelage sans pouvoir rien y faire.