Orion continue de prendre Bazile en levrette, parsemant ici et là, fessées, tirages de cheveux et stimulation de ses doigts sur son clitoris. Ses coups de reins sont violents et la position inconfortable de la jeune femme sur le tapis lui brûle les genoux comme Orion l'avait prédit.Finalement il se déverse en elle dans un râle bestial et la fait jouir presque en même temps en accélérant le jeu de ses doigts sur son point sensible.
Bazile se laisse tomber sur le côté, reprenant son souffle et calmant à la fois les sensations suite à son orgasme et les délicieuses douleurs qui lui a infligé.
Lui aussi doit attendre quelques instants avant de pouvoir faire quoi que ce soit, puis il essuie sa queue sur les fesses de Bazile et se relève pour remettre son boxer et son pantalon.
La jeune femme quant à elle remet sa robe en place et se relève également en essayant de faire taire la douleur dans ses genoux. Elle les regarde et les constate rouges et râpés.-Tu es belle avec ces marques. Comme celles qui apparaîtront sur tes fesses dans la nuit. J'aurai voulu les voir c'est dommage...
-Tu peux les voir. Il te suffit de dormir ici.Orion sourit tristement:
-Tu sais qu'on ne peut pas. Connaissant Béatrice elle va rentrer tôt demain matin, et elle verra parfaitement que je n'ai pas dormi là-bas.
-Et alors?
-Elle sait que j'étais chez toi ce soir. Ça serait suspect.
-Tu peux lui mentir.
-C'est vrai je pourrais, mais il y a une différence entre ne rien dire et mentir ouvertement. Je la respecte bien trop pour choisir cette deuxième option.Bazile n'a rien d'autre à ajouter. Il a raison. Après tout si Béatrice n'est pas réellement « sa femme » ils n'en sont pas moins amis depuis des années à partager faussement une vie conjugale et surtout le secret le plus précieux de leurs existences. Lui mentir aussi clairement ne serait pas correct. Déjà que c'est beaucoup que Bazile soit au courant et qu'elle n'aurait jamais rien dû savoir de tout ça, et en particulier sur l'homosexualité de Béatrice qui pourrait la détruire si cela se savait.
-Oui... je comprends c'est normal, excuse-moi d'avoir envisagé ça.
-Je ne t'en veux pas.Néanmoins Bazile ne peut cacher sa déception. Comme elle aimerait passer la nuit avec lui, leurs corps collés dans son lit, comme lorsqu'elle avait dormi chez lui, mais cette fois sans cette angoisse d'être surpris par Béatrice...
Elle ferait tout pour le garder encore un peu avec lui. Juste un peu...-Si tu veux voir des marques sur mes fesses, rien ne t'empêche de les faire apparaître plus rapidement maintenant...