Last Race

~ CHAPITRE 17 ~

~ Mercredi, 4h45, Sky's House ~

Un bruit assourdissant se fit entendre.

Moi : Qui a créé le réveille sérieusement, grognais-je.

J'essayais tant bien que mal de l'éteindre mais sans aucun succès. Cela m'avait énervé alors je pris cette engin de malheur et le balance contre mon mur.

Moi : Hallelujah, dis-je avec un cri de victoire.

Je me lève, à contre cœur, de mon bon lit bien douillet et chaud et file sous la douche rapidement.

Je sortis et parti dans mon dressing.

Moi : J'aurai du choisir hier soir, soupirais-je.

Je sortis un pantalon noir que j'avais déchirer au niveau des genoux, avec un haut couleur kaki moulant et par dessus une légère veste noire.

Il était maintenant 5h05 quand je descendis dans la cuisine me prendre un café avec quelques biscuit.

Une fois fini, je mis mes chaussures à talon et parti dans mon garage pour choisir ma voiture.

Moi : La quel est à réparer déjà ?

Je m'étire tout en regardant tous mes trésors. C'est vraiment dur de choisir quand on a un choix énorme ! Je regardais attentivement et je choisis mon Audi R8. Je pris les clés, sors du garage et part à la base.

Vu que je reviendrais avec une nouvelle voiture, j'en profite pour en laisser une dans mon garage au QG car j'ai plus d'outils là bas que chez moi pour bricoler mes bijoux.

~ Mercredi, 5h57, Black Fox's House ~

Je viens de garer ma voiture dans mon entrepôt et me dirige dans la villa.

J'ouvre la porte et tombe sur Louis et John entrain de discuter.

Tiens ce n'est pas moi la dernière cette fois ci, pensais-je.

John : Bien tout le monde est là, dit-il. On va pouvoir y aller.

J'allais demander où sont les deux idiots mais on me coupa la parole.

William : C'est parti, répondit-il en mettant son bras sur mon épaule.

Louis : Tous dehors allez.

Louis nous prit tous, le bras, un par un et nous pousse jusqu'à la sortie.

John, Louis et Dereck commençais à partir. Je voulais faire de même mais un bras me gênait fortement.

Moi : Veux-tu bien enlever ton fichu bras ? Demandais-je en souriant faussement.

William : Mais non mon Poussin, ça fait trop longtemps que je ne t'ai pas eu dans mes bras, répliqua-t-il en insistant sur son entrainte.

Moi : D'accord comme tu voudras, je souffle agacé.

Il se mit à sourire fièrement, pensant qu'il avait enfin gagné. Mais pendant ce moment d'inattention, je lui pris le bras et le retourna pour pouvoir le maîtriser et le plaquer contre le mur. Je me colle à son dos et rapproche mon visage vers le sien.

Moi : Quand je te dis d'enlever ton bras, tu obéis ! Est-ce que je me suis bien fais comprendre William ? Chuchotais-je dans son oreille.

Dereck : Oh les gars, ça suffit maintenant, on a du boulot à faire je vous rappel.

Il roule des yeux et repart dehors.