~ CHAPITRE 14 ~

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~ Lundi, 18h34, Black Fox's House ~

On roulait maintenant depuis quelques minutes, qui en passant étaient affreuse ! Dereck ne faisait que chanter, mes oreilles s'il vous plaît, je n'en peux plus.

Moi : Je t'ai dis de la fermer !

Il m'ignorait complètement, peux important les menaces.

Dereck : LaLaLa ! Dit-il joyeusement.

J'avais atteint ma limite. Je me mis à freiner d'un coup sec et Dereck se prit l'airbag en pleine face.

A noter, j'aurai peut-être du les réactiver non ?

Je me mis à rigoler en silence quand il releva la tête.

Dereck : Bordel, je vais te buter sale p*te !

Moi : Oh, excuse-moi, j'ai vu un petit écureuil trop mignon passer et je voulais pas le blesser tu vois, répondis-je.

Dereck : Tu veux pas blesser un puta*n d'écureuil mais moi ça te dérange pas ! Et en plus je pari que tu l'a fais exprès, cria-t-il.

Moi : oh mon dieu ! Ta tête ! T'a jamais été aussi sexy de toute ta vie, riais-je.

Il toucha son nez et fit une grimace. Il se regarda dans le rétroviseur puis il me regarda avec un regard dès plus noir. Si les regards pouvaient tuer, je serai sûrement morte à cette heure-ci !

Dereck : Skyler, je vais te tuer ! Tu es une femme morte !

Moi : Oh tiens, regard on est arrivé, l'ignorais-je. Tu peux rester la si tu veux petit blessé.

Il allait me sauter dessus dans peu de temps, alors je me gara sur la pelouse verte du lac, éteignis le contact, pris les clés et descendis.

Ne jamais laisser un homme seul dans sa voiture avec les clés !

Dereck : Reviens ici tout de suite Skyler !

Je ne lui répondis pas et me dirigea en direction du lac.

A quelques pas, je vis ma Bugatti.

Moi : Bien, ils ne devraient pas être bien loin, pensais-je.

Je traversais une petite foret d'arbres et atterri sur un lac bleu qui brillait au éclat.

Dereck : C'est beau n'est-ce pas ? Me chuchota-t-il à l'oreille.

Je ne sursautais pas, bien trop émerveillé par la vue qui se portait devant moi.

Moi : Oui, c'est vraiment beau.

J'avais dis cette phrase d'un ton calme que je ne connaissais pas.

Dereck : Et bien, si t'es aussi calme, je devrais t'emmener là plus souvent, répliqua-t-il en posant ses mains sur mes hanches. Tu montre tes faiblesses Eagle Dark.

Je sentis son souffle sur mon cou et d'un geste, je redescendis sur terre et lui pris ses bras pour le plaquer au sol.

Dereck : Fait chier ! Tu peux pas faire attention sérieusement. Sa fait deux fois aujourd'hui que je fini au sol, grogna-t-il.

Moi : Je t'ai jamais dis de ne plus me toucher ? Je crois que sa a du sortir de ta petite tête, dis-je froidement.

Je me relève et commence à marcher jusqu'au bord du lac, suivis de près par Dereck.

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