~ CHAPITRE 8 ~

688 27 2
                                        

~ Dimanche, 21h39, Destination Inconnue ~

Se visage...

Se sourire aux coins des lèvres ...

Son regard de charmeur qui n'arrivais pas a m'atteindre depuis des années et sans succès aujourd'hui encore.

Pourquoi était-il ici, adossé sur à ma voiture ?

Je regardais les alentours, tout en m'approchant de lui. Soudain, je vis la Murcielago LP 670-4 SV rouge à côté. Je ne comprenais pas, jusqu'à ce que j'ai eu le déclic !

Moi : C'était toi !

... : En chair et en os, très chère Eagle Dark. Son regard s'intensifiait.

Moi : Pourquoi ? Pourquoi t'a fais ça Dereck ?!

Dereck : Je m'ennuyais et quand je t'ai vu passer devant moi j'ai eu une envie de venir m'amuser aussi.

Moi : Dis-moi que personne ne t'a vu descendre ou aperçu avec cette voiture ! Je t'en supplie.

Dereck : T'en fais pas, je n'ai pas bouger de ce bijou.

Moi : D'accord, soufflais-je.

Dereck est le seul et j'insiste bien le SEUL à pouvoir me battre mais quand on fait la course -se qui est rare- nous finissons toujours par avoir une égalité. Sa a toujours été comme ça et ça le sera toujours peut importe le nombre d'entraînement, nous serons toujours au même niveau et c'est l'unique chose qui me fait peur :

« Ne jamais pouvoirs battre Dereck. »

Lui et moi sommes les meilleurs du gang pour les courses de voitures mais personne ne le sait, ou a pu assister à une de nos courses à part mon père et j'en suis ravie.

Dereck : Tu es calmée ? Chuchota-t-il en se rapprochant de moi.

Moi : Oui... J'espère juste que tu tiendra notre accord pour ce sujet.

Dereck : Bien sûr, jamais je ne pourrai faire sa, même si cela peut-être un bon moyen pour que tu perde ton titre de « Eagle Dark ». Mais se ne serai pas drôle si tous le monde le savaient et sincèrement je préfère garder sa pour moi et en profiter quand nous sommes tout les deux sur la piste.

Je sentais son souffle se rapprocher. Nous avons beau nous détester, Dereck sait très bien que se titre me tiens à cœur et que c'est une partie de moi. Ceci est notre seul et unique secret que l'on s'est promis de garder pour sois.

Moi : Ne refait plus jamais sa Dereck, tu m'as mis dans une colère noire vu que je ne savais pas que c'était toi. Il hocha la tête et me prit dans ses bras musclés.

Dereck : Pour me faire pardonner, je t'emmène manger quelques part, ça te va ?

C'est vrai que j'avais faim... Mais...

Moi : Non. Je me décrocha de lui et m'écarta. Arrête Dereck, je te déteste, je ne veux pas être vu avec toi et encore moins avec ce qui s'est passé. Ce n'est pas parce que tu es venu pour « réconforter » -on va dire- que je vais devenir gentille envers toi ! Tu peux toujours rêver.

Dereck : Très bien, soupira-t-il. Un jour tu acceptera, je le sais, dit-il avec un clin d'œil.

Moi : Bien sûr, on verra quand les poules auront des dents idiot va. Je partis en direction de ma voiture. Ah aussi, ne te montre plus jamais avec cette voiture.

Je l'entendis ricaner. Puis je monta dans ma voiture en direction de chez moi.

~ Dimanche, 22h49, Sky's House ~

J'entra dans mon garage, gara ma voiture et rentra dans ma maison. Mon frère et mon père était tout deux gentiment assient devant la télé avec des boîtes de pizza sur la table basse du salon.

Moi : Salut, dis-je en m'asseyant aussi pour prendre une part de pizza. Quoi de beau ?

Tyler : Et bien pas grand-chose écoute.

Papa : Oh, des histoires par ci par là comme toujours.

Moi : D'accord.

Nous passâmes la soirée à parler de tout et de rien. Bien évidement, mon frère ne parla pas du sujet de cette après-midi car il n'était pas là. Et mon père viendra sûrement m'en parler quand Tyler partira.

~ Dimanche, 23h45, Sky's House ~

Tyler était parti dans sa chambre. Il ne restait plus que mon père et moi. Tyler était sûrement au lit.

Moi : Bon je suppose que tu veux des détails, n'est-ce pas ?

Papa : Exact. C'était lui ?

Moi : Ouais... Il est de retour, tu le sais mieux que quiconque.

Papa : Effectivement. Il était parti faire une mission importante avec un gang de Los Angeles.

Moi : Cool, dis-je ironiquement.

Papa : Tu n'es pas obliger de réagir comme ceci Sky, je sais que vous vous détestez mais vous avez un niveau exceptionnel et cela est très important pour notre gang. Vous êtes nos deux meilleurs pilotes mais aussi les meilleurs du pays.

Moi : Je le sais bien, mais il m'a vraiment surpris ce soir, je ne pensais vraiment pas que c'était lui. Enfin bref, il est tard je vais me coucher. Je lui fis un bisous sur le front. Bonne nuit Papounet à demain.

Papa : Bonne nuit ma fille. N'oublie pas, demain après-midi sur la piste et emmène une moto si jamais tu as envie de faire un tour.

J'hocha la tête et parti en direction de ma chambre. Je m'arrêta devant la chambre de Léo, ouvris légèrement la porte pour voir un Léo dormir comme un bébé. Il a du passer une bonne journée lui.

Arrivée dans ma chambre, je me déshabilla, mis un tee-shirt m'arrivant à mis-cuisse et alla me coucher.

Demain va être une bonne journée. Enfin je l'espère...

Last RaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant