~ CHAPITRE 18 ~

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~ Mercredi, 8h16, Sky's House ~

Les gars étaient pas très net et ils nous regardaient avec un air de tueur. Je pense que ça ne va pas se passer comme prévu.

... : Hey, vous là-bas ! Nous interpella un des hommes.

Dereck : Ouais ?

L'homme : Vous êtes là pour la livraison, c'est ça ? Sourit-il.

Moi : Exact. Alors si on pouvait se dépêcher car j'ai autre chose à faire.

L'homme : Bien ma jolie,acquise-t-il. Oh ! Romio ramène les tas de ferraille.

Romio : Ok man !

Il parti dans le bateau et je voyais que Dereck fixait celui qui parlait depuis tout à l'heure pendant que je regardais un peu partout pour être sur mes gardes.

Moi : Dereck, chuchotais-je.

Dereck : Combien ?

Moi : Sur le côté nous avons des Colt Python qui peuvent tiré 6 cartouches. Derrière on a des Beretta 92 dont 3 silencieux, celui avec la veste en cuir, l'autre avec une cigarette et aussi le gars qui est assis. Ils peuvent tirer 15 cartouches.

Dereck : Ok et devant nous ?

Moi : Attend... Ah, je sais ! Taurus Raging Bull qui peut tirer de 5 à 8 cartouches.

Dereck : Plutôt balaise non ? Plaisante-t-il.

Moi : Juste un joujou pour faire joli. Donc pour finir, sur les toits nous avons 2 snipers avec HK MSG 90 qui comporte une lunette de grossissement avec 5 à 20 cartouches.

Dereck : Bien, hoche-t-il la tête.

Après ce repérage, Romio revient et il chuchote quelques chose dans l'oreille du parleur. Ce dernier hoche la tête.

La porte arrière du bateau s'ouvre lentement pour laisser place à des caisses métalliques.

L'homme : : Votre commande est dedans très chère, me lance-t-il.

On marche jusqu'à la plaque qui relie le bateau et le port mais des gardes nous bloquèrent le passage.

Moi : Un problème ? Répliquais-je.

L'homme : Eh bien, comment dire... Il y a seulement mademoiselle qui peut monter pour le moment.

Dereck : Et pourquoi donc ? Dit-il avec un regard noir.

L'homme : T'en que l'on a pas le fric, on ne vous laisse pas passer comme ça.

Dereck : Pourquoi elle a le droit de monter alors ? Je l'accompagne, dit-il d'un ton menaçant.

L'homme : Les dames d'abord, sourie-t-il perversement.

Je vois Dereck serrer ses poings et marcher lentement vers l'homme.

Moi : C'est bon, les coupais-je. Attend moi là, je ne serai pas longue, t'en fait pas.

Je lui lance un clin d'œil qu'il me rend avec un sourire au coin.

Je suis donc Romio à l'intérieur. Il m'emmene dans le bateau et me fait voir la boite métallique de plus près.

Romio : Voilà la marchandise. Attention, c'est fragile ces choses là, il se mit à avoir un sourire complice avec son camarade qui me surveillait dans le moindre détail.

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