Je Veux Juste Tes Lèvres { Bakudeku }

40/ C'est putain de réel

Hello !
J'espère que vous allez bien !
Voici le quarantième chapitre !
Bonne lecture !

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Point de vue Katsuki

-Allons manger Deku.

Il regarda mon torse un instant.

- Tu ferais mieux d'aller te laver avant...

Je le regardais à mon tour.

- Ouais.

Je me levais donc du lit doucement. Je marchais dans la pièce et sentis alors le regard de Deku sur moi. Je me retournais et lui disais un sourire en coin sur le visage.

- C'est moi ou tu te gênes pas du tout pour me mater ?

Il rougit légèrement mais répondit avec défi.

- J'ai pas le droit d'observer ce qui est à moi ?

Je m'arrêtais d'un coup. Je n'y avais jamais pensé. Ce style de trucs c'est moi qui les dis habituellement... Pourtant... C'est assez plaisant à entendre finalement.

- Depuis quand je suis à toi le nerd ?

Faut pas déconner, j'ai ma fierté jamais je lui avouerai.

- Depuis toujours Kacchan.
- Ah oui ?

Retour du sourire sadique.

Finalement moi qui devais aller me laver je retournais sur le lit et me rapprochais de mon Deku.

J'avançais sur le matelas jusqu'à arriver à sa hauteur.

- A toi tu dis ?
- Oui.

Il mit ses bras autour de mon cou et m'embrassa. Ces moments là... Je veux qu'ils durent à jamais.

Je suis si putain de niais je m'écoeure moi même.

On s'écartait finalement. Il me sourit. Un sourire... Son putain de sourire. Celui qui me fait de drôle de trucs dans la poitrine.

Je déposais un léger baiser sur ses lèvres.

- J'vais me laver tu peux aller en bas si tu veux.

Il acquiesça et m'embrassa de nouveau.

Je finis par enfin sortir de ce lit et allais dans la salle de bain.

Je passais un peu d'eau sur mon visage avant de regarder mon reflet. Je remarquais alors que... Je souriais. Comme un débile heureux. Comme ces gamins pour qui le père Noël est passé.

Je suis dans la merde :
Je crois que je suis putain d'accro.

J'allais entrer dans ma douche quand j'entendis un cri strident.

- DEKU !

Hurlais je en me précipitant dans la chambre.

J'arrivais et le voyais, par terre, emmêlé dans les couvertures.

- Putain t'as foutu quoi imbécile ?

Il remua sous les couettes avant que je vis une touffe verte apparaître, puis son visage les sourcils froncés et une moue adorable.

- C'est de ta faute ! Ta faute et celle de ta grosse...

Il s'arrêta, se rendant compte de lui même qu'il était sur le point de sortir une connerie.

Je secouais la tête de droite à gauche en me marrant et allais le prendre dans mes bras. Je l'installais ainsi de nouveau sur le lit. Je lui déposais un baiser sur la tempe et demandais.