Je Veux Juste Tes Lèvres { Bakudeku }

bonus : appelez moi chandelier

Et me revoici avec un chap bonus !!!
Je suis pas parti très longtemps XD
(J'ai pas encore vraiment terminé cette fic dans ma tête doooonc....)
Bonne lecture !

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Point de vue Eijiro

- Regarde regarde !

Il me mit sous le nez son téléphone affichant l'image d'une très jolie fille.

- Elle est belle hyn ?

Il attend mon approbation ? Sûrement. Et c'est en sentant mon cœur se serrer que je lui répondais un faux sourire sur le visage.

- Ouais ahah...

Il sourit. Ce sourire j'aimerais qu'il me soit destiné. A moi. Pourtant j'eus l'impression qu'une once de tristesse passait dans ses yeux.

- Tu l'aimes ?

Demandais je alors.

- Euh... C'est quoi cette question ?
- Est ce que tu l'aimes ? Elle.

Il regarda la photo.

- Non ! Mais elle est super belle.
- Ouais...

Je posais la tête sur le lit où il était allongé et fermais les yeux.

Je sentis soudain son souffle sur mon front. J'ouvris les yeux et croisais son regard. Nous nous perdions ainsi quelques instants dans le regard de l'autre avant qu'il ne se lève.

- Viens manger c'est l'heure !

Je pris la main qu'il me tendait et nous sortions de sa chambre. Il marchait devant me parlant encore et toujours de cette fille. Et moi je le regardais et je me rendais compte que je ne l'aurais jamais. Il se retourna d'un coup vers moi.

- Eiji tu m'ecoutes ?
- Ah euh...

Il leva les yeux au ciel.

- Trop concentré à penser à ta crush !

....
C'est la seule excuse potable que j'ai réussi à lui sortir pour qu'il me lâche enfin la grappe.

- Ouais...
- Mec t'es putain d'amoureux c'est adorable.

Je rougis. Parce qu'il vient de dire que je suis adorable. Et je m'en veux de penser comme ça. Parce que lui me voit juste comme son ami.

On arrivait finalement à table. Je regardais à ma droite et vis Tsuyu et Ochaco en train de se câliner. A ma gauche, Bakugo et Izuku en train de... Il font quoi au juste ?!? Quoique... Je veux pas savoir... Je reportais mon attention droit devant moi et... Mina et Sero en train de se bouffer des yeux. Et il y a moi qui sais que je n'ai aucune chance. Je soupirai et il se retourna vers moi.

- Aller viens t'asseoir au lieu de déprimer.

Je le suivais et il s'assit à côté de moi. Le repas commença et... Tous nos potes sont soit en couple, soit sur le point de l'être. Appelez moi le chandelier, je tiens la chandelle.

Je sentis soudain une main sur ma cuisse et un souffle chaud sur mon oreille.

- Dépêches toi de manger j'en peux plus ils sont insupportables tous.

La cadence de mon cœur accéléra et mes joues prirent la même teinte que mes cheveux.

- O-oui...

Je terminais donc mon assiette le plus vite possible et l'on sortit de table.

- Dans ta chambre !