CHAPITRE 50

6.1K 233 35
                                    

Je sautille comme une gamine devant l'entrée du parc d'attraction sous les rires de Josh

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Je sautille comme une gamine devant l'entrée du parc d'attraction sous les rires de Josh.

Est-ce un hasard si je me retrouve ici?

Je ne sais pas si Evy s'en souvient mais petite, j'avais une réelle passion pour les parcs d'attractions. J'adorais y aller et on y allait souvent ensemble.

Peut-être elle se rappelait de ça, et a donc eu cette idée...

-Tu es vraiment une gamine toi
 Il ricane.

Je hoche la tête pour confirmer ses dires.

Oui. Une grande gamine.

Ses rires redoublent.

-Tu veux commencer par quoi?

-Comme tu veux...J'aime tout! Je lui réponds tout souriante. 

Me voilà de nouveau de bonne humeur.

-Même les grands huit? Il me questionne un sourire narquois sur le visage.

-Surtout les grands huit! Je lui réponds provoquante.

-Ok...

-Ok?

-On va en faire un tout de suite. Et le pire. On va voir si tu aimeras toujours autant ça après...

-Tu rêves mon pauvre, c'est toi qui va être dégouté!

Il hausse un sourcil et affiche un air à moitié outré.

On se dirige vers la queue d'un grand huit.

Big death

Super rassurant le nom.

Je déglutis, mais ne me laisse pas avoir pour autant.

-Tu vas voir, tu vas t'accrocher à moi, tant tu auras peur... Il me murmure à l'oreille.

Je tente de cacher mes frissons.

-C'est toi qui vas t'accrocher à moi...

Il sourit puis avance un peu.

Après quelques minutes, nous arrivons à la fin de l'attente.

On se place dans le même wagon.

Quelques seconde après, le train part et nous projette à plus de 100 km/h.

Au début je me cramponne à la barre par pure réflexe. Josh, lui, laisse ses bras le long de son corps.

-Alors, toujours aussi courageuse Princesse?! Me crie Josh.

-Oui, toujours! Je crie aussi.

Je lève alors les mains au ciel et hurle comme pour confirmer mes paroles.

Il m'imite et nous crions ensemble comme de vrais enfants.

Le manège se finit quelques minutes plus tard et j'y sort, zigzagant légèrement.

La racine carrée de l'étéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant