[𝐖𝐀𝐑𝐍𝐈𝐍𝐆: contenue mature, tel que; drogues, sexe, suicide et bien d'autres encore.]
(𝐢) 𝐞𝐮𝐩𝐡𝐨𝐫𝐢𝐞, 𝘯𝘰𝘮 𝘧𝘦𝘮𝘪𝘯𝘪𝘯
Sentiment de bien-être général.
#1; netflix le 26/05/21
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
« you gotta be kidding me. »
LES COUVERTS claquent contre nos fonds d'assiettes dans un silence pesant. Hardin me laisse un regard de détresse lorsque son père l'interpelle, posant son verre de vin sur la table. J'ai toujours détesté les dîners de famille, surtout depuis que ma mère et Esguilt sont ensemble.
— Comment se passe tes cours, fils?
— Ça va, marmonne mon demi frère, les yeux plongés sur son assiette, d'ailleurs, j'ai quelque chose à vous annoncer, père.
Je fronce les sourcils et essuie délicatement ma bouche en me redressant.
— L'année prochaine, j'arrête les études.
Esguilt manque de s'étouffer avec son vin hors de prix et s'essuie la bouche tandis que ma mère frappe dans son dos. Hardin avait un sacré culot.
— Hors de questions.
— Je suis majeur, père, je n'ai plus besoin de votre permission.
— Monte dans ta chambre.
Hardin soupire bruyamment et racle sa chaise sur le sol avant de monter à grandes enjambées les marches en bois de la maison. Je garde le silence, les lèvres pincées.
— Et toi ma chérie? demande doucement ma mère en saisissant ma main par dessus les couverts, comment ça se passe au lycée?
— J'ai les meilleures notes de ma classe, je commence à énumérer mes exploits, je suis capitaine de l'équipe des cheerleaders du lycée et j'ai fais ma demande pour intégrer yale l'année prochaine.
Ma mère frappe dans ses mains pendant que Esguilt hoche la tête, appréciatif. En temps normal, j'adorais me faire mousser auprès des adultes, mais là, non. Rabaisser Hardin pour satisfaire mon ego ne me plaisait pas. Je me lève sans demander la permission et quitte la table pour rejoindre l'étage à mon tours.
— Chérie, demain matin, je t'emmène au lycée! me cri ma mère du réez de chaussé.
Je soupire et m'arrête devant la porte de chambre de mon demi frère, avant de frapper. Il m'autorise à entrer et je m'échoue sur son lit, à moitié sur son dos. Il râle et me pousse, me faisant rouler et tomber lourdement de son lit.
— Vas-y doucement, j'en connais une qui mange bien à la cantine, souffle hardin en frottant son dos douloureux.
