Chapitre 2.

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Je rentre et dépose mon sac dans l'entrée. J'avoue, cette maison est juste magnifique, j'ai toujours rêvé de vivre dans une maison comme ça. Ma mère a l'argent pour l'acheter, elle est membre de la NASA, ça l'arrange même de venir habiter dans le New Jersey. Dylan a lui était toujours jaloux de moi pour avoir une mère aussi parfaite. Personnellement je n'est jamais rien compris à tout ces délires de planète, de vaisseau ou autre. Mais bon, c'est son boulot. Vous vous demandez aussi pourquoi je n'est jamais eu cette maison avant ? Mon père est accro au jeu, il empruntait tout le temps l'argent de ma mère, il en avait un accès illimité. Tout les soirs il était assit dans le canapé sur son ordinateur sur un jeu de poker, de street poker, de blackjack, ou autre. L'argent partait en fumée avec lui, et comme si ce n'était pas finit il regardais aussi l'euro million en priant pour que son ticket soit le gagnant. Devinez-quoi ? Ça ne l'a jamais été.
Je soupire en repensant à tout ça et sors récupérer mes valises et le reste qui m'appartenais et monte les escalier en apercevant une chambre avec une pancarte indiquant mon nom. Je m'avance, l'arrache et rentre dans ma chambre, c'était une chambre simple, elle était dans les tons grisâtre et blanc. Je pose mes valises et commence à sortir mes affaires que j'avais emmené. Je vide mon sac de vêtement dans l'armoire, pose tout mes livres sur mon bureau, et pose le reste ou je peux. Et là je remarque une porte, enfin, en plus de ma porte de chambre. Oui, je suis bizarre, je remarque des portes. Comme si je n'allais jamais la remarquer. Je m'avance et l'ouvre... PURÉE UNE SALLE DE BAIN, VOUS SAVEZ CE QUE ÇA VEUT DIRE HEIN ? J'AI MA PROPRE SALLE DE BAIN A MOI !
J'ouvre grand les yeux et me met à me dandiner en chantonnant une chanson qui passer indéfiniment à la radio : Shake It Off de Taylor Swift. Je souris et dépose ma trousse de toilette, cette maison est vraiment génial.
() () () ()

Je m'assoie sur mon lit, purée ça a était une journée de dingue, j'ai voyagé, j'ai déballé mes affaires, on a eu la visite de presque TOUT le quartier et maintenant me voilà à la limite de tomber raide de fatigue sur mon lit. Puis d'un seul coup je commence à entendre des rires, de plus en plus fort, de la musique, CEST.UNE.BLAGUE. Je me relève et jette un coup d'œil par dessus ma fenêtre pour voir deux garçon complètement similaire danser en... Se filmant ? Je roule des yeux ne cherchant à n'avoir aucun contact, que ce soit visuel, par ouïe ou quoi que ce soit d'autre, je ferme mon volet et m'enfonce sur mon lit avant que mon ordinateur se mette à indiqué que DYLAN VOULAIT ME FAIRE CHIER en faisant un Skype. Vraiment ?... J'accepte et sa bouille encadrée d'un casque aussi gros qu'un avion A380 apparaît. Je lui souris et il me le rend.

"- Pas trop fatigué ?
- SI, justement !
- Tu me manque déjà...
Je fais alors les gros yeux et le fixe, Dylan n'était pas vraiment le gars à étalé ses sentiments et à dire des choses comme ça, il faisait toujours le matcho même si au fond je savais qu'il n'étais qu'un gros pleurnichard.
- Yep, toi aussi...
- Je vais être seul au lycée sans toi...
- Mais nooon, il y aura bien Marcus !
- Oui, mais il ne s'appelle pas Kennedy et ne porte pas de pull marqué " Va te faire foutre jeune poulet."
C'était son pull préféré, dès que je le portais il s'amusait à toujours se mettre dans des situations où il pouvait souligner mon t-shirt.
- Tu as cas t'en acheté un.
- C'EST UNE OFFENSE KENNEDY JAMES KING ! Je ne porte que des t-shirt venant du magasin de jeu vidéo en bas de chez moi !
- Ne m'appelle jamais par mon deuxième nom sinon je te zigouille c'est compris ?
Oui, James était mon deuxième nom, ma mère ne voulais qu'un seul enfant et mon père voulait absolument qu'un de ses enfants porte le nom de son grand-père. Bah voilà, c'est fait, je m'appelle James.
- Promis... Désolé.
- T'a intérêt !... Bon je te laisse je suis complètement crevé, et puis demain c'est mon premier jour de cour... Dans un nouveau lycée...
- Ne traine pas avec les geeks aux appareils dentaires, ils sont toujours plus pervers.
Je rigole et baisse la tête pour chercher la touche pour raccrocher. Après ça je dis au revoir à Dylan et raccroche. Je sens que demain va être une longue journée...

Kennedy King g.dOù les histoires vivent. Découvrez maintenant