Chapitre 4

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Il sourit pour m'encourager, mais Marie savait qu'au fond de lui il priat qu'elle dise oui.

-Je... Ho Newt... Je ne sais pas quoi dire, ni même quoi faire...

-Moi, en tout cas oui... Je t'aime

Sur cette révélation, elle posa sa tête sur l'épaule nue de Newt.

-Et puis... Je suis différent des autres... Je ne te fairais pas souffrir, reprit-il en lui caressant les cheveux.

-C'est ce que vous dites tous...

-Je ne suis pas tous, répondit-il.

Marie le regarda dans les yeux, Newt sourit et la bouscula doucement dans l'herbe. Allongée sur le dos, Elle le contempla, il était à califourchon sur elle.

Il approcha son visage, nez contre nez, et Newt murmura:

-Je peux?

Marie sourit, et Newt s'approcha encore plus et l'embrassa... Le baiser semblait durer une éternité. Marie ne bougeait pas, elle avait ses deux mains sur le beau visage du garçon, pendant que Newt ceressait tendrement ses hanches.

-MARIE!? NEWT!?

Newt sursauta et se releva honteux de s'être fait prendre. Marie l'imita et s'éloigna du garçon.

Teresa.

-Vous ne vous connaissez que depuis quatre jours!

-Et alors, se défendit Newt, ça fait que trois jours que vous vous connaissez Thomas et toi, et pourtant ça ta pas dérangé quand il te tripotait comme un chien en chaleur dans la forêt!

Teresa devint subitement rouge.

-Quoi? S'étonna Marie.

-Bref, changea Teresa qui faillit s'evanouir de honte, deux filles sont arrivé dans la boite.

-L'alarme n'a pas retentit? Demanda Newt.

-Non, répondit Teresa

-Elles sont où? Questiona Marie.

- Disons qu'elles ont crée une pluie de pierre...

Newt...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant