Point de vue de Goulag :
Quand j'ai quitté la Russie, j'étais au fond du trou. Mes parents m'avaient surpris a embrasser un mec qui a nié qu'il était consentant et j'ai été foutu dehors. Mon frère était à l'armée et je me retrouvais seul.
On m'aurait retrouvé et buté parce que je suis bi si j'étais resté là-bas. Mes parents sont ce genre de personnes, celui qui appelle les milices anti-gay pour voir leur problème de malade mental disparaître. Ouais pour eux c'est une maladie.
J'ai prit mes économies, je me suis barré, j'ai acheté une moto et je suis parti en vadrouille pendant pas mal de temps avant d'arriver à Phoenix et d'entrer dans comme prospect dans le club. Ces gens-là étaient prêt à mourir pour leur frères et j'avais besoin d'une famille. J'avais juste peur du moment où un mec se ramènerait et ou je voudrais baiser son petit cul.
Reaper m'a grillé en cinq secondes et j'ai rien pu lui cacher.
Après avoir apprit que les mecs étaient autant ma came que les nana, il m'a juste sourit et on en a plus jamais reparlé. Pour lui et pour tous mes frères, il y avait aucun problème et ça me faisait du bien putain.
J'ai passé ma période de prospect et j'ai été accepté comme membre. J'ai choisi mon nom de route parce que mes parents m'avaient dit que c'est là-bas qu'ils allaient m'envoyer en apprenant mon orientation sexuelle. C'est une façon de leurs dire que je me contre-fout de ce qu'ils pensent de moi.
Après quelques années à enchaîner plan cul et brebis au club, un avocat s'est ramené avec un cul de malade. Il m'a intrigué et je le cherchais du regard dès que je savais qu'il visitait le club. D'après quelques frère, c'était un monstre face à un juge. Moi je trouvais qu'il avait une gueule d'ange. Par contre je me suis senti comme un con a avoir peur qu'il ne soit pas intéressé par ce sexe. Je me trouvais des tas d'excuses pour ne pas aller le voir et j'ai perdu deux ans à me contenter de mater son boule.
Ensuite une nana à moto s'est ramenée. La fille du président. Personne n'était au courant qu'il avait une fille. Papa poule comme il est, il allait certainement pas nous en parler.
Un paris plus tard, j'embrassait mon ange à pleine bouche et j'adorais ça. J'aime pas embrassé les putes ou les plan-cul, ça me donne l'impression de m'attacher. Mais lui, il m'a prit par les couille en un seul putain de baiser et il ne les a plus lâché depuis.
J'ai été le plus heureux du monde quand il a accepté d'être mon soumis dès la première séance de sex. Il me faisait tomber sous son charmes chaque secondes un peu plus. Je savais que je n'allais plus pouvoir le lâcher alors je lui ai demandé de sortir avec moi. Je savais déjà que j'allais en faire mon homme.
Au départ il a refusé.
"Je suis brisé, et je suis un monstre."
Il couinait, et je voyais toute la douleur et la culpabilité dans son regard.
Je lui ai dit que je m'en foutais, et que je l'aimais comme ça.
Il n'a pas mis longtemps à me parler de cette putain de fusillade. Mon ange me ressemblais plus que ce que je pensais. Rejeté par ses pairs parce qu'il était gay, c'étais qu'un garçon mal dans sa peau qui s'est fait emporter dans des emmerdes plus grosses que lui sur lesquelles il n'avait aucun contrôle. Il culpabilisait déjà alors qu'il s'était arrêté à temps alors je n'imagine pas ce que ça lui aurait fait s'il avait tiré comme prévu.
Je ne remercierais jamais assez Elizabeth Collins pour avoir sauvé l'âme de mon ange en plus de lui avoir sauvé la vie.
Ensuite il y a eu cette nuit où l'amour de ma vie a commencé à pleurer dans son sommeil, à hurler et à supplier quelqu'un de se réveiller. Je voyais qu'il souffrait mais peu importe ce que je tentais pour le réveiller, il restait enfermé dans son cauchemars. Liz' m'avait prévenu de l'appeler et je sentais que je n'étais pas à régler le problème tout seul comme je l'avais pensé plus tôt dans la journée. Je n'étais même pas sortit de ma chambre qu'elle était déjà devant la porte.
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Vilain petit Canard du mad Wolfs MC
RomanceJe suis Elisabeth, Liz' pour la famille et les amis. Je suis fille de Biker. J'ai de super parents et trois super frères dont je suis vraiment fière. Des hommes accomplis, fidèles au club qu'à construit mon grand-père et prêt à tout pour la grande f...