Chapter Twenty-Seven: The last fight.

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Début mai 1945, Bavière,

Une chaleur à en mourir, les soldats s'occupaient du mieux qu'ils pouvaient en attendant les Génis pour qu'ils viennent enlever cet éboulement menant à Berchtesgaden où ce trouve le Nid de l'Aigle d'Hitler. En attendant c'était nos obusiers et nos grenadiers qui essayaient de retirer ce tas de caillasse nous coupant la route pour nos camions. Certains descendit des camions tel que Liebgott assis contre la roue du véhicule attendant bien sagement ou bien Webster assis au milieu du pont entrain de lire. Winters était impatient mais il gardait son calme comparé à Ron qui avait peur que les Français arrivent avant eux au nid d'Hitler, il voulait jusqu'à grimper mais le Major lui interdit et l'arrivé du Colonel Sink changea la donne. Nous le saluons puis il commença tout en fumant sa cigarette;

- Je viens de parler au Général Leclerc. Il a dit qu'il était le premier à arrivé à Paris et qu'il serais le premier arrivé à Berchtesgaden. Nous explique t-il avant de continuer quand nos démineurs du dimanche essaye de faire exploser le cul de sac, ce qui ne marcha pas. Puis le Colonel repris. Je lui ai dit que je le comprenais. Il retire une taffe pour nous laisser du suspens. Secouez-moi le 2eme Bataillon et devancez-moi ce type. Nous demande t-il avec un sourire.

- A vos ordre. Conclus le Major avec un rictus aux lèvres.

Ronald Spears laissa passer la Jeep du Colonel avant de rejoindre Winters, ce dernier repris;

- Easy Compagny en tête. Regroupez vous sur l'Autobahn.

- A vos ordres.

En arrivant dans le village, tout était sinistre. Nous à pieds et les Officiers étaient conduit en Jeep. Tous les volets des maisons étaient fermés, des linges blancs en signe de paix accrochés aux balcons dansaient au rythme du petit vent frais. Nous restons très vigilent, ça aurez été con que l'un de nous meurt alors qu'on était droit au but surtout si c'est un putain de Ss qui nous collaient cette putain de balle après tout ce que nous avons vécu. Les Officiers entraient dans un hôtel restaurant où sur la façade était encore accrochés les drapeaux du troisième Reich. Je les regardaient sans broncher. Bull vient relever la visière de mon casque.

- Le Major Winters te demande. Me prévient-il toujours son cigare entre les lèvres.

- Le devoir m'appelle on dirais. Dis-je avant de partir les rejoindre à l'intérieur. 

En rentrant assez timidement, la statut en bronze devant l'entrée, m'a fichu la trouille. Mon canon pointa la représentation d'Hitler. Le bruit à fit retourner le Lieutenant Welsh intrigué par la personne qui rentrais. En retournant sur ses pas il c'est mit à ricaner en me voyant toujours en position de tire.

- Trop tard, il n'est plus de ce monde. Ricane t-il toujours.

Je renfile donc la bandoulière du sniper sur l'épaule avant de le regarder.

- Si seulement j'avais eu cette occasion.. Pensais-je à haute voix.

- Tu l'as déjà vu? Me demande t-il ébahi.

- Oui. Enfin du moins je l'ai aperçus avec Mussolini. Lui expliquais-je brièvement avant d'aller dans le hall toujours accompagné du petit homme bouclé. Nixon arrêta un vieil homme faisant tomber un objet au sol et voulant s'enfuir avec le registre. Winters contempla le pièce.

- Maike? M'interpelle le Capitaine en regardant les noms. Je me mit à coté de lui et regarda. Tu en connais? Me demande t-il toujours en lissant.

- Oui. Répondis-je en le regardant cette fois. Tous du moins pour ceux que je connais, ce sont des fuyards.

Dans la liste il y avait celui d'un haut dignitaire nazi qui avait  le surnom de "père des jeunes hitlériens" qui n'est autre que Baldur von Schirach. Il avait quitté ses fonctions en 40 puis il était devenu gouverneur à Vienne. Le nom de Alfred Rosenberg était aussi marqué, c'est un des chiens chiens d'Hitler mais je ne connaissais pas tout à fait ses fonctions à part que c'était un ministre de l'intérieur du IIIè Reich. Pendant que nous continuons d'arpenter les pages, un bruit nous mit sur le qui-vive, je n'ai pas pu regarder le nom de l'Oberfhurer inscrit en fin de page. En rentrant dans la grande pièce luxueuse du restaurant. Un serveur rabattu le couvercle d'une caisse avant de s'enfuir, prenant les jambes à son cou.  Le Lieutenant Welsh se précipite sur le coffre l'ouvris. Il retire son casque avant de dire;

FURYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant