9 février 1945, Haguenau, France,Après l'enfers des Ardennes, pour nous, ici, étais le paradis. Quelques coups de feux sur l'autre rive mais rien de bien méchant comparé à Bastogne. Après ma blessure à Foy, j'étais devenu un peu la secrétaire du PC meme si on faisait encore appelle à mon talent et que j'aidais encore mes camarades sur le terrain pour dénicher ce foutu sniper que j'avais perdu de vue depuis. . . Nous installions le PC s'en plus tarder.
- Sergent Lipton. Veuillez vous reposer. Demandais-je en l'aidant à s'allonger sur le canapé en lui mettant des coussins pour lui maintenir la tete ainsi que deux couvertures.
- Regardez qui voilà! Interviens Luz en regardant un instant l'entrée tout en apportant des papiers à Lipton. Pas mal la piaule, hein, Lipton? Demande t-il sans réponse.
- Sergent Lipton? Interpelle le nouveau voyant que le Sergent était dans le mal il lui demande si ça va.
- Il a choppée une pneumonie. Répondis-je en rangeant des caisses qu'un soldat venait de poser.
- Désolé.
- Faut pas. Il est en vie, allongée sous une couverture bien traitée par une demoiselle. Un vrai coq en pâte! Renchéris Luz avant que je lui donne une tape sur l'épaule.
- Le Sergent Malarkey veut que je vérifie si je fais parti de la deuxième section.
- Assieds-toi, Webster. Fait signe le malade. On va s'occuper de ça.
Je sentis le regard de Webster sur moi mais je m'en préoccupais pas. J'allais aider Vest à ranger de la paperasse.
- Sergent Lipton? Demande Webster jusqu'à qu'il se fait couper par un arrivant.
C'était le Lieutenant Jones, un remplaçant comme tous les hommes de cette compagnie. Ca me mettait un coup de voir un Lieutenant aussi jeune meme si les Allemands envoyaient des gamins de seize ans voir moins aux combats. Le regard que l'aspirant prenait en me regardant me mit mal à l'aise. Je ne savais pas ce que cela voulais dire, meme encore aux jours d'aujourd'hui des hommes que je voyaient encore et encore me haïssent toujours. Lip invite Jones à s'asseoir lui aussi en lui proposant du café qu'il refuse. Quelques minutes après, le Capitaine Speirs arrive.
- Maike, avez vous préparez un lit pour le Sergent Lipton? Me demande t-il.
- Oui Capitaine mais avant il vous attendait. Répondis-je en le saluant.
- Allez donc vous couchez. Conseil le Capitaine.
- A vos ordres. J'essaie seulement de me rendre utile. Souffle Lipton.
Alors que j'allais aider Lipton à se relever ce qui fit beaucoup rire Luz, Winters arriva accompagné de son acolyte Nixon.
- Ecoutez-moi. Interviens Winters en retirant son casque et de se gratter les cheveux. Une patrouille doit partir faire des prisonniers.
- L'ordre émane du Colonel Sink. L'idée n'est pas de moi. Déclare Nixon.
- La ligne de résistance, c'est la rivière. Il faut la franchir. Continu Dick en descendant le bout de marche.
- Que doit-on faire? Demande le Capitaine Speirs.
- Il y a une maison de deux étages en face. Elle est occupée. Prenez quinze hommes. Choisissez avec soin qui commandera la patrouille. Prenez un éclaireur et un interprète. Le bataillon vous couvrira. Explique le supérieur.
- Quand? Demande une nouvelle fois le Capitaine.
- Ce soir, à 1h.
- A vos ordres.
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FURY
Fiksi PenggemarPays-Bas 1943, Après plus de trois ans sous l'occupation Allemande, Maike Beeckman vas devoir s'engager de force dans une toute nouvelle section de la Jeunesse Hitlérienne pour sauver son père et son frère internés dans un camp quelque pars en Alle...