Chapter Two: Werde ein Hund.

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Mon corps venait de perdre son âme, plus aucun être vivait dans cette chair de fille stupide.. La route qu'empruntais le camion militaire était remplit de troue de souris, les passagers et moi étions secoués dans tout les sens, ont pouvaient entendre la pluie qui tombait abondamment à travers la ferraille. Le silence régnait dans l'habitacle, deux filles à la tête blonde à peu prêt de mon âge se tenait la main, certains avaient des uniformes des jeunesses hitlérienne d'autres étaient comme moi, parti sans rien.. Je restait livide au fond du camion en repensant aux pleures d'Agnès raisonnaient dans mes oreilles ainsi que celle de maman. Cette nuit là, resteras à jamais gravé dans ma mémoire.  

La porte s'ouvris et se referma d'aussitôt, au même moment ou je me réveillais, la lumière était allumée et l'homme s'approchait de moi en me mettant une claque qui me coucha en un éclair  s'abattant dans un champ au milieu de nul part. En regardant sa tenue du coin de l'œil, c'était un uniforme noir et pas m'importe lequel, Allemand ou plutôt Ss la pire espèce qui ne puisse existé dans ce monde. Cela me répugna quand il pris le cadre où se trouve la photo de Papa et moi. Quand je croisa son regard, je l'ai vite reconnu de ces yeux azurs.

 - C'est toi qui à tué cette bête? Me demanda l'Officier avec un accent médiocre. 

 - Oui. 

 - Nos espions ne ce sont pas trompés ... Murmure t-il. Quel âge avais-tu? Tu semble jeune. 

 - Huit ans. répondis-je apeurée. 

 - Bien. Murmure t-il en se postant devant la fenêtre, contemplant le crépuscule à l'extérieur.  Nous avons entendu quelques rumeurs sur ton père, des amis chasseurs je suppose. Il emmènerais une gamine à chaque parties de chasse avec eux, elle serais d'ailleurs plutôt douée. Ton père faut croire qu'il est aimé de tous, ici. L'homme se retourna vivement en face de mon lit avant de me relève par le bras me forçant à le regarder droit dans ses yeux bleus, j'avais beau me débattre je ne faisais pas le poids face à lui.. 

 - Ecoute moi bien.. Racle l'allemand d'un mauvais poils. Ton père et ton frère sont des ennemis du IIIe Reich. 

 - Ils ont rien fait! M'écriais-je. 

 - Ils vont être exécutés, ton père et des amis chasseurs cachaient des explosifs et différents types d'armes, des armes allemandes dans la salle privée de Nono. On aurais pu finir en miette si une grenade à main à manche était défectueuse et ton cher grand frère à tuer un boche sur une ligne de démarcation, nous venons de retrouver le corp ce matin. 

Ma bouche tremblait toute seule, mes yeux écarquillés ne dévisagea pas l'allemand qui me bloquais maintenant contre le mur. Quelques secondes plus tard, il me tira par ma tignasse et m'entraîna hors de ma piaule. Maman et Agnès étaient blottis l'une contre l'autre surveillé par un soldat mitrailleuse à la main prêt à tirer. 

 - Maike! S'écria la femme. 

L'Allemand m'emmena dehors, Papa se débattait comme Piéter mais ont lui tira une balle dans l'arrière genou quand il réussit à s'enfuir. 

 - La prochaine seras entre les deux yeux, c'est ça que tu veux? Me demanda le gradé en  plantant le canon de son arme sur mon père. 

 - Papa.. 

 - Si tu veux que ta famille reste en vie, il faudra que tu accomplisse une mission importante pour le IIIe Reich. 

 - N'accomplit rien pour ces fumiers, Maike! C'était la voix de mon frère qui se fit vite taire par deux soldats qui le ruaient de coups. 

 - Si tu refuse tu mourras avec eux. 

 - Ils sont innocents.. Lâchais-je en pleure. 

 - Mettez les dans le camion, ont repars en Allemagne. 

FURYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant