FURY

Chapter Eighteen: The Survivors.

L'aube se dessinait dans le ciel derrière le bois qui fit une forteresse à la bâtisse réquisitionner pour la Croix Rouge. Les patients dormaient sous la surveillance de Lynn qui terminais sa garde de nuit. Alors que la jeune infirmière terminais son tour, des bruits de moteurs grondaient à travers les murs. Les portes qui se claquent vibrais les murs ce qui me fit sursauter ainsi que l'Oberfhurer Jager dormant encore il y a un instant tout comme moi. Quelques secondes plus tard, des ordres donnés en hurlant se fait entendre dans tout le bâtiment. Porte qui claquent, supplices des infirmières, pas lourds et rapide tremblaient le carrelage. En regardant par la fenêtre, les patients internés ici se faisaient embarquer dans les camions armes pointés sur eux ils avaient guère le choix..

- Que ce passe t-il?. Me demande Jager ne pouvant pas sortir de son lit.

- Ils emmènent des soldats blesser.. Répondis-je tremblante. Où vont-ils?! Demandais-je à mon tour en me retournant, maintenant de dos à la fenêtre.

- Ils repartent surement au front.. Murmure t-il, éloigne toi de la fenêtre!

J'exécute cette ordre à l'instant ou notre chambre ce fut ouvrir par un coup de pied. Poignard en main par instinct j'était prête à me battre si il le fallait. Le visage de ce jeune homme je le reconnaîtrais entre mille c'était le Untersturmfhurer qui se fit vite rejoins par le Caporal Médecin qui lui même se retrouva plaqué contre le mur par un soldat.

- Ne faites pas ça! S'écria Herlich. J'étais perdu, cette scène ne pouvait pas avoir lieu ici. Le silence reviens avant des échos de bottes claquant le carrelage. L'ombre d'un homme imposant se dessina sur le sol, ma vue remonta lentement dévisageant le Lieutenant qui se mit au garde à vous puis lui.. Adrian, Adrian Korb, le Brigadefhurer Korb! La nausée me vient mais ce n'est pas pour autant que je ne lâche pas mon poignard.

- Brigadefhurer. Qu'êtes vous entrain de faire? Demande intrigué Jager.

- Oh! Oberfhurer Jager, je ne vous avez pas vu.. Répond le gradé d'un air sournois. J'ai ordre de réquisitionner tout hommes pouvant encore se battre avec l'arrivé brutale des Américains, ils nous faut plus de soldats.

- Vous n'avez pas le droit.. Marmonne Ehrlich d'un filet de voix. J'étais dans le flou, les deux gradés étaient entrain de se faire un combat de regard, que pouvais-je bien faire à par lâcher le poignard?

- J'ai ordre de récupérer tout les chiens de gradé encore capable de se battre. Les hauts dignitaires pensent que les Américains vont tenter une percée dans les Pays-Bas. Si nous voulons les stopper, ils nous faut les meilleurs éléments.

- Mon chien reste avec moi. Répond l'Oberfhurer en se levant. Alors que je m'apprêtait à allée l'aider, le brun me stoppa. J'ai éduqué ce chien de A à Z, il me reviens de droit. Hélas, le Brigadefhurer Korb fit signe à son subalterne n'écoutant pas Jager.

- Les ordres sont les ordres, Oberfhurer Jager. Vous savez ce qu'il vous coûteras si vous désobéissez à un supérieur? Emmenez Yarost'. Ayant compris ce qu'il attendais de moi, je commençais à reculer en les suppliant du regard mais ceci augmenta l'avancé du Untersturmfhurer, prêt à mener à bien sa mission, ne voulant pas décevoir son gradé. Bloquée au coin du mur je n'ai eu guère le choix de le charger le faisant reculer sur la diagonale de la pièce ce qui m'a valus un coup de cross d'une arme de poing sur le crane m'effondrant de tout mon corps au sol. Des grésillements s'installent dans mes ouïes, le monologue de Adrian n'était pas au attente de Roman en voyant son visage se crisper ravalant toute sa haine au fin fond de ses entrailles. L'Oberfhurer salue donc son supérieur à contre cœur. Le soldat lâcha donc le Caporal Médecin Ehrlich, je le regardais tout en me faisant relever par deux grands colosses qui venaient de rentrer dans la chambre sous le regard de quelques commères. Sur pied je ne pu m'empêcher de me défaire de leurs chaines pour rejoindre en titubant mon ami Médecin.