FURY

Chapter Seven: Bad And Good News.

En cette période d'hiver, les rues étaient enneigées mais le soleil tapait dans le ciel, une saison froide et à la fois agréable. Le monde était présent, les civils, militaires, politiciens, tous le monde étaient là ainsi que des journalistes à vrai dire, c'était le meilleur moment pour que des résistants frappe! La seule chose que je souhaitais était qu'une bombe explose au milieu de cette grande rue mais il ne ce fit rien. Les banderoles du IIIè Reich était accrochés aux balcons, toutes les branches Jh à commencer par les plus jeunes défilaient sous les haut-parleurs grésillant la chanson "Alte Kameraden Marsch", j'ai vraiment cru qu'on partaient à la guerre en entendant dans les rangs les plus grands chanter la chanson sur le bout des doigts. Nous étions salués par tout le monde d'une main et d'un bras tendu en notre direction, ceci me faisait presque peur, j'essayais de ne pas les regarder mais cela me terrifiait encore plus! Meme des enfants à peine âgée de six ans étaient habillés en Jeunesse Hitlérienne tenant souvent dans leurs mains un drapeau. C'était aussi la première fois que je voyais des Japonais certains étaient des militaires, d'autre des politiciens nous exclament pareil pour les Italiens. Bien évidement il y avait des Ss et encore des membres de la Wehrmacht. Nous, la section Elite étions moins nombreux et nous étions les derniers à arriver, quand ils nous vus, plus personne osais s'exclamer, les femmes portaient les enfants qui venaient nous voir, les militaires nous regardaient mal et les politiciens se faisaient littéralement dessus. 

- C'est ça, ayez la frousse, bande de lâche! Ronchonne un grand brun à coté de moi.

A la réception d'un château, seul les représentants de la pure race des différentes restaient pour faire pétiller les invités. Moi? Je n'étais que la pour surveiller la soirée, la musique raisonnait dans chaque coins de la grande pièces ainsi que dans mon casque. Les plateaux en argent avec des verres de champagne défilaient. Tous étaient accompagnés d'une jolie femme avec de belle chose sur elle, des éclats de rire, des sourires, des embrassades, des serrages de mains tout y passait, je regardais tout le monde d'un mauvais oeil à part les apéritifs qui passaient sous mon nez. Ceci me donnait tellement faim que mon ventre gargouillait et mon nez s'allongeait pour aller renifler, mais quelqu'un vient me mettre un coup sur mon casque qui me fit raisonner le cerveau. 

- Reste droite! Fière! On dirais un juif rabougris! Réplique le Sergent-Chef. Ne me fait pas honte! 

- Les Juifs se tiennent de cette manière? Demandais-je avec une touche d'ironie. 

- Surement, enfin, ce n'est pas la question! Je suis le seul Sous-Officier ici et faut croire que tout le monde s'en fou de comment je vous ai entrainé, éduqué, regarde.. Il y en a que pour se Axmann.. Alors que c'est moi qui est fait tout le boulot! Grogne t-il d'un mauvais air. 

Je ne disais rien et je regardais le Reichsjugenfhurer homme politique et militaire discuter avec des Japonais et des fascistes Italiens tous, politiciens. Il y avait Sybille? Elle était accompagné d'un jeune homme de la race aryenne sorti tout droit des Jeunesse Hitlérienne et en plus de ça il l'avait engrosser. Je vis aussi Véra bizarre qu'elles ne se sont pas encore vue et Adam qui s'empiffraient sans manière. Je n'étais pas la seule à les voir, le Sergent-Chef lâcha des jurons avant de marcher d'un pas furax vers eux.  Une fois qu'il était parti je m'adossa au mur tapis d'une tapisserie rouge aux bordures dorées. La grande porte s'ouvris à nouveau, étant à coté je ne fis pas attention quand je vis cet homme grand aux yeux bleus, des cheveux bruns plaqués en arrière quand il enlève sa casquette. 

- Heil Hitler, Oberfhurer Jager! Saluais-je en me mettant au garde à vous. L'homme me regarda avec un petit sourire avant de relever la visière de mon casque. 

- Tu t'es trompée de personne, soldate. Me dit-il. 

Je regardais sa femme à son bras dire quelque chose comme: "Si jeune et si jolie", avant de se faire interpeller par des hommes en uniformes plus loin.