Chapter Twenty-One: Touw om nek

59 4 0
                                    


Nous sommes maintenant le 17 octobre 1944 à Schoonderlogt toujours en Hollande où je suis tenu en quelque sorte prisonnière. Ma chambre est gardée par des soldats 24h sur 24h sept jours sur sept ou on m'accompagne même pour aller au petit coin. A vrai dire je n'ai pas trop à me plaindre, je suis dans une chambre d'un hôpital aménagé. Je suis nourris, soignée et blanchit et pour vu que ça dur! Nuenen et l'armée Allemande est loin derrière moi je suis  maintenant aux mains de l'armée Américaine et je leurs donne des renseignements importants étape par étape. A quoi bon de tout divulguer alors que la moitié de ce que je leur dirais ils me croiraient même pas, déjà que ça leur fait drôle de voir une gamine en tant que Sniper alors imaginé  la tête qu'ils feraient si je leur dévoile qu'ont est surentraînés tel un chien pour protéger des gradés.  Je ne savais meme pas si cette opération continuait ou était tout simplement finis. Qui à gagné? Qui à perdue? 

Accoudée au rebord de la fenêtre je regardais les bâtiments qui encadrais la cours. Le vrombissement d'une Jeep me mit sur mes sens, je reconnue directement l'un des deux hommes sortir en papotant avant d'entrer dans une salle à leur gauche. Je suis restée bouche-bée lorsqu'il retire son casque et que son regard se tourne vers le bâtiment dans lequel je me trouvais. Il m'a sauvée.. Me suis-je dit. Si il n'aurais pas intervenu ce fameux soir après m'être "rendu", dans quel état m'aurais-je retrouvée? Restant dans mes pensées, je me remémore le passé.. 

Je pouvais encore ressentir les coups qui était destiné pour les Fritz, sur leurs visages crasseux même en voyant flou je pouvais voir la haine, l'envie de vengeance avant que les ténèbres me submerges.. En me réveillant et en bougeant mes mains, j'entendis le cliquetis des menottes attachés aux barreaux du lit. J'avais beau me débattre, j'étais enchaînée de mes quatre membres. Qui aurais cru qu'une gamine effraierais autant les Yankess? Je pouvais me débattre huer le monde entier, personne pourrais refermer mes plaies.. Ma tête lourde basculait sur le coté laissant s'échapper une larme s'adressant à mes blessures et à ma famille quelques pars en Allemagne ou dans un autre pays que le Reich avait le contrôle. Les retrouver en vie ou bien mort était ma dernière mission jusqu'à l'arriver d'hommes en uniformes. 

 - Les Allemands a tenus leur promesse, commence un officier en s'avançant jusqu'à devant mon pieu les mains dans le dos, ils envoient bien des gamins à la guerre tel que la fameuse baby division en Normandie, de vrai meurtrier fanatique ceux-là. . . De mon regard terreux, je ne le lâchais pas du regard ses yeux marrons et son visage de souris voir de fouine. Un simple soldat garda la porte, sa Thompson contre lui. L'autre devait surement être un traducteur. 

- Sind Sie ein Madchen oder ein Junge? Demande le traducteur. En voyant que je ne répondais pas, l'homme au visage de fouine sorti de son écrin un Colt. 

- Ich bin kein Deutscher. Répliquais-je en baissant la tête. I know how to speak English. No need for a translator. A mon intervention, il baissa son arme et fis un signe au brun et au soldat de quitter la pièce. Lorsque le silence revient, il pris un tabouret et s'assoie tout en gardant ses distances comme si j'étais contagieuse.. Mes yeux suivaient sa main rentrer dans la poche de sa veste afin de ressortir quelque chose. L'or de la chaîne s'instillait à la lumière du jour reflétant sur le collier ainsi que la croix qui se balançait dans l'air. Mon.. Mon collier! 

- Je te le rendrais en temps voulu, mais avant j'ai des questions à te poser comme celle de ta plaque. Ni nom, ni prénom juste ton numéro de matricule. Qui est tu fillette? Tu reste un grand mystère pour nous autres.

- Un chien. Répondais-je.

- Tu ne peut t'appelle chien... Ricane t-il. 

- Maike, Maike Beeckman, je suis d'origine Néerlandaise. 

FURYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant