Chapter Six: The Past Is The Past

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Le cauchemars à refait surface pendant mon peu sommeil. Je ne pu croire que ma mère à trahit papa ainsi que le Pays. Comment à t-elle osée de se mettre avec un boche, le boche qui à casé la famille. Quand je fermais les yeux, les images me revenait: l'homme Ss entrant dans ma chambre, ma petite sœur en larmes dans les bras de ma putain de mère de pure race, mon frère se débattant puis lui, cet homme que j'admire tant. Celui qui n'aurais jamais livré un membre de son sang ou la personne qu'il aimait plus que sa propre vie. C'était à peine l'aube et une grande partie de la nuit je suis restée assise au bord du lit à contempler le travers de la fenêtre. Sans plus attendre, j'ouvris ma valise ou j'avais ramener que mon pyjamas, ma serviette, ma brosse à dent pour mettre en plus la photo de moi et papa. J'ouvris le tiroir de ma table de nuit et récupère une photo de famille, je ne pu m'empêcher de voir ma mère avec son sourire charmeuse alors je déchire se coté. En allant dans la chambre de ma petite sœur, son lit était fait et sa poupée en chiffon qu'elle ne se séparait jamais était là. Je l'embarque et la met dans mon bagage avant de descendre les escaliers sous le regard de ma mère en peignoirs en soie et le Ss. 

- Maike? Où vas-tu? Me demanda t-elle surprise tout en tenant sa tasse de café. 

Je ne fis pas attention, je ne pouvais pas rester plus longtemps dans cette maison. Alors que j'enfilait mon manteau et mis mon couvre-chef, le manteau du Oberfhurer Jager n'était plus là. 

- Si c'est Jager que tu cherche, il est parti tôt ce matin à la Mairie, Chien. Interviens Korb en buvant une gorgée de sa boisson chaude. 

Je le regardais du coin de l'œil, sans même forcer, sa mâchoire carré se crispait faisant parfois exorbité ses yeux bleu azur et faire devenir rouge les extrémités de son visage blanc. On dirais que sa chemise fermé jusqu'au col lui serrais. Je secouai la tête pour me sortir son visage de constipé de mes pensées et je suis sortie. Derrière le portillon se trouvait cette fameuse berline noir brillant à cause des rayons du soleil se reflétant dessus. Mon pas s'accélère, je voulais partir de cette maison, de ce village et de ce Pays qui pour moi ne valait plus un sous. Tout ce qui me préoccupait était de collaborer avec les boches pour qu'ils aient une confiance aveugle en moi pour que je leurs plante le poignard dans le dos mais avant ça faut que je sache ou se situe mon aîné, ma cadette et mon père ce qui n'est pas encore gagné d'avance. 

- Tu as choisi, pas vrai? Demanda une voix colonelle adosser contre le muret que je ne vis pas toute de suite. 

J'étais surprise, il avait une cigarette au bec et me regardais d'un regard électrique qui me fit frissonner sous cette chaleur agréable. 

- Je me suis demandé quand tu allais te décider, cela vas faire deux heures que j'attend. Tu as été longue. Monologue l'Oberfhurer en regardant à l'horizon les mains dans les poches de son pantalon noir. 

- Excusez moi. Répondis-je enfin. 

Nous montons dans le véhicule après que j'ai mis ma valise dans le coffre. 

- As-tu choisi? Me demanda t-il curieux. 

- Je ne regarderais plus le passer, mon Oberfhurer. Je suis morte à présent et si vous m'acceptez en tant que chien, je vous jure de vous protégez au périple de ma vie. Dis-je d'un ton ferme ne faisant montrer aucune émotion à part une qui restait gravé dans mon regard et que je regrette: La haine. 

L'Oberfhurer Jager me regarda sans rien dire juste son sourire le trahit. 

- Chauffeur, nous pouvons rentrer. Termine le gradé avant de fermer les yeux pendant tout le reste de notre retour. 

Hiver 1943,

Une fine pellicule de neige recouvrait le sol du camp. Les flocons voltigeaient avant de se déposer sur les rambardes et les toits des différentes bâtisses mais ça nous empêchas pas de nous entraîner. 

Allongé sous une couverture blanche de camouflage qui se fit très vite elle aussi recouverte par la neige, je me concentrait avant que les cibles en bois apparaissaient entre les arbres, des buissons et de différents endroit devant moi. Je tirais avec précision mais en ratant une sur les cinq. 

- 4 minutes. C'est du bon boulot. Interviens le Sous Sergent-Instructeur. Bien, jeunes Élites vous avez tous améliorez vos scores et votre rapidité aux tires, je vous félicites et pour cela je vous laisse partir plutôt. A l'heure du soupé le Responsable vas vous informés d'une nouvelle. 

Nous repartons en direction des cabanons gelés. Nous nous enroulons dans nos couvertures de camouflage blanche. 

- Qu'est-ce que cela peut bien être? Demande Véra. 

- Aucune idée. Répond Kay. 

- J'ai entendu des gradés parler d'une réunion  des différentes branches JH. Réplique Lynn à ma gauche. 

- Vraiment? S'étonna Véra. Ce qui veut dire qu'on vas en faire partir?

- Surement, puis nous sommes l'Elite. 

- Pas les filles impures, notre Fhurer voudrais pas que vous participez! Riposta Adam en ricanant. Ce qui veut dire aucune des filles de notre classe! 

- Très drôle.. Ronchonne Véra en haussant les sourcils avant de courir après le jeunot hitlérien. 

Le soir même pendant le soupé le Responsable de se camp d'entrainement fis un discours, tous même ceux n'étant pas noté dans "la race pure" devras faire partis de cette soirée. Les filles et les garçons faisant partis de la catégorie que le Fhurer appréciait temps ont été appelés et Véra aussi même si il lui manquait les yeux bleu, surement un manque de personnel. A ce que j'ai compris, nous allons défiler dans la rue, d'abord les pures races puis, nous, le reste de toutes les branches Jh sous les regards d'ambassades Japonaise, la France pétainiste et les fascistes d'Italien ainsi que des Officiers Généraux de tous les corps d'armées de la Heer. En sortant de table, tout les jeunes soldats retournaient dans leur cabanon à part moi qu'on m'arrêta avant que je puisse atteindre le seuil. 

- Beeckman? Interviens la voix du Sergent-Instructeur. Nous t'avions confiée une mission. Pendant la soirée qui suivras, tu seras de garde, des terroristes pourraient infiltré le grand banquet et nous manquons terriblement de personnel, on aimerais pas qu'un drame arrive. 

- Très bien. Sergent-Instructeur. Heil Hitler! Répondais-je avant de partir d'un pas lourd. 

Et dire que je pensais m'amuser un peu et bien tout est gâché mais tout n'est pas perdu, ma chère petite sœur seras surement là bas avec la branche des Kukens. Une occasion à ne pas rater. Après l'extinction des feux, dans le noir dans mon lit, je ne pu m'empêcher de serrer la poupée en chiffon d'Agnès tout en pensant à elle. 



FURYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant