Chapter Nineteen: Spotting.

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Le robinet de la douche fermé, des gouttes d'eaux terminaient de juter du pommeau de douche. Les gouttes tombas entre mes omoplates glissant sur la courbe de ma colonne vertébrale qui se faisait ressortir. La vapeur essaya de s'échapper par le plafond mais tout comme moi elle était prisonnière, je tourne les talons et marcha pied nu sur le carrelage glissant et tiède jusqu'aux lavabos alignés ou au dessus je pouvais voir mon ombre. D'un geste de main je retire la buée sur un quart du long miroir,  je regarda mon reflet entre mes mèches courtes cachant mes yeux d'un vert sombre, sans éclat et d'un teint pale. Seule la croix en or portée autour de mon cou donnait de la clarté. C'était  l'idée de Naumann pour mes cheveux. Les alliés savaient déjà que des vieux et des jeunes garçons étaient réquisitionner par l'armée mais personne étaient réellement au courant que des jeunes filles aussi devaient se battre à part les Russes mais si les confédérés apprenaient ce que les slaves faisaient aux infirmières chleuhs et les filles chien de gradés comme moi je pense qu'une nouvelle guerre pourrait vite arriver. Notre quotidien commençait à devenir lassant, très lassant. Les jours nous les comptons même plus, ont entendaient seulement le signal du fameux débarquements alliés faites essentiellement de l'aéroportée. Nous savons tous que ce n'est pas pour libérer le peuple Néerlandais mais plus une opération militaire pour nuire petit à petit le IIIe Reich car c'est ici dans mon Pays où ce trouve les centres industrielles que les Allemands convoitent tend, les perdre ça les déséquilibreraient.

Le troisième dimanche du mois de Septembre, l'offensive alliées étaient un échec ainsi que la discrétion. Les hauts Commandants Allemands surtout le Generalfeldmarschall Von Rundstedt et le Generalfeldmarschall Model se doutaient de cette fameuse offensif  à croire que les agents doubles ont bien fait leurs taff. D'après une conversation avec Korb et mon ancien Instructeur, c'est l'officier de renseignement du groupe d'armée B qui aurait eu l'intuition que la seconde armée britannique lancerais une offensive en direction de Nimègue, Arnhem et Wesel visant principalement la zone industriel de Ruhr. Il ne savais pas où exactement mais ce ne fut pas un soucis, à croire que Dieu veut encore donner une chance aux boches! Équipés nous attendions un ordre, un signe de vie. Wilhelm regardait par la fenêtre les soldats chargeant des caisses contenant plusieurs types d'armes et munitions sous le murmure brouillant de Konrad qui priait agenouiller au bord de sa pageot tenant de ses deux mains sa croix qu'il ne quitte jamais tout comme moi. La peur ne m'avais jamais quitté, la boule se nouant était de renouveau là serrant chaque boyaux qui se trouvaient dans mon ventre. Les Ricains étaient t-ils pire que les Soviétiques? Je regardais chaque camarade, Élias pour se détendre mangeait sa plaquette de chocolat qui était avec sa ration pour une semaine. Adam, lui astiquait son semi-automatique pour passer le temps et moi? Je contemplais la croix de Magda posée dans ma main, comment pourrais-je oubliée cette petite femme au grand cœur? J'espère la revoir après la guerre pour lui redonner et lui dire: "Elle a survécu".

- Je ne savais pas que tu avais ça. Interviens Konrad en s'asseyant à coté de moi tout en me montrant mon objet de valeur dans ma main.

- Quelqu'un me l'as donné, pour me protéger. Répondis-je en refermant mes doigts sur le crucifix.

- Garde à vous! Réplique Élias. Nous sommes mit en ligne saluant le gradé entrant dans la pièce, l'écho de notre salue résonne encore quelques minutes avant que l'homme nous fasse signe de nous mettre au repos.

- Élias Newmann et Konrad Shriver. Appelle t-il avant de partir.

Nous nous regardons, nous avons compris qu'ils étaient appelés au front. A l'instant ou la porte se referma nous avions pu souffler de soulagement jusqu'au prochain appel. L'ordre était de rester prêt à partir, ont pouvaient être appeler autant la journée que le soir. Alors nous faisions des tours de gardes de deux heures à chaque fois pour laisser reposer les autres à la veille du départ non fixe. C'est le lendemain qu'ont nous appellent, tôt, très tôt le matin la porte claqua nous laissant pas le temps de remettre les horloges à l'endroit.

FURYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant