Tome II chapitre 13

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Je vous posterais Amour impréssible un shaa Allah

Il va m'entendre celui-là. Il est en réunion non?! On verra. Je pénètre dans l'entreprise en colère, je n'ai même pas saluer Noami ni Dieynaba qui me lorgnait des yeux. Au-delà de mes un mètre soixante-quatre, je suis une femme de principes et personne ne va me marcher dessus. Je franchis la porte de la salle de réunion et m'avance vers lui, tous ses collègues me regardaient, arrivée à son niveau, je l'affronte du regard.

- Madem ...

- Rachid tu voulais me rabaisser n'est-ce pas? Hurlais-je en colère.

- mais tu es folle, tu es...

- je m'en fou de votre putain de réunion, ma fierté est plus importante, tu veux me montrer que tu es un homme riche et arrogant mais sache une chose, je suis plus culotté que tu ne penses la preuve...

Je prends son verre d'eau et lui jette le contenu, il était tellement en colère ce qui est bien, nous sommes deux maintenant, je le déteste.

- Sortez ! ordonne-t-ils aux autres.

_ Non restez! Vous allez connaître enfin qui est votre patron, l'homme qui se trouve devant vous considére les femmes comme des instruments, des choses et pourquoi? Tout simplement, il a une cicatrice au cœur mais laissez moi te dire une chose Rachid, depuis toute petite, je n'ai jamais laisse aucune personne me manquer du respect comme toi tu l'as fait, j'ai supporter tes caprices car en tant que bonne musulmane je me devais de te recadrer, te montrer le bon chemin mais là, je me rends compte que tu es un homme qui ne possède pas de qualités ni rien terminais-je en déposant les clés sur la table.

J'avais envie de pleurer mais je me retenais, après tout cet imbécile ne mérite aucune larmes de ma part. La salle était remplie de murmures et lui, il était furax, je ne regrette pas mon acte, toute la terre doit savoir qu'il est un idiot. Je me précipite vers la sortie mais il m'interpelle.

- Si tu sors d'ici je te renvoie me passe-t-il comme ultimatum.

Ya Allah donnez moi la force. Je me tourne et le regarde puis je sors le  contrat, oui, je savais qu'il allait s'imposer et ça c'était ma dernière carte, j'avance vers lui sous les yeux de ses collaborateurs et déchire ce foutu contrat de travail.

- Vous n'avez pas à le faire monsieur Aïdara, je me retire de mon plein gré fis-je.

- Aïcha, tu n'as pas le droit de m'abandonner m'interpelle-t-il en criant.

Je sors enfin de la salle puis prends rapidement l'ascenseur avant de prendre un couloir, et pour finir ce espèce de con me suivait en criant mon nom, il est fou et bipolaire, j'ai tellement mal au cœur, je cours puis arrête un taxi. Quand je voulais pénétrer dans ce dernier, il me retient la main.

- je te jure que si tu quittes le boulot, je te flanque un procès car tu avais...

- Fait le Rachid, j'attends la convocation pénale avec plaisir retirais-je ma main de son emprise.

Je le pousse et entre dans le taxi puis demande le chauffeur de me conduire chez ma sœur, je le vois frapper le mur mais je ne m'en fou pas mal, tout ce dont j'ai besoin en ce moment c'est de l'oublier, oui, je veux le faire sortir de mon cœur.

Et c'est là que je me rencontre que je suis tombée amoureuse de cet imbécile, de ce sans-coeur.

Quelle vie Aïcha Linguère Fall!

Rahim Aïdara

J'ai passé toute la journée à me lamenter sur mon sort mais là ma femme me manque et je sais qu'elle ne me pardonnera pas aussi facilement. Je la trouve assise près de la grande fontaine, les pieds dans l'eau et tenant un livre. Je m'approche d'elle par derrière et l'enlace dans mes bras. Elle soupire et ferme les yeux, elle me reconnaît surtout mon parfum et moi en entier.

La faveur de mon patron (En Correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant