10 jours de canicule [publié, mais épuisé, chez ETT]

Postface

Ce roman-ciné fait référence à de nombreux films, en particulier, à ceux de Jean-Luc Godard, Maurice Pialat et François Truffaut, trois de mes cinéastes français préférés. Peut-être ces trois-là n'auraient-ils pas apprécié de se retrouver ainsi réunis dans un même texte, tant leurs désaccords ont été parfois profonds et leurs débats houleux Mais là où ils se trouvent... seul Godard pourrait encore rugir.

Les titres de certaines de leurs œuvres sont insérés dans le texte sans autre indication, amenés par l'inspiration, en écho avec l'intrigue du récit. Ils ne prétendent pas couvrir l'intégralité de l'œuvre de Pialat et de Truffaut, ni de Godard, bien sûr. S'il est joueur, le lecteur aura pu s'amuser à repérer ces titres au cours de la lecture. Ils sont indiqués ci-après. Rien ne l'empêche, s'il désire en savoir plus sur les films cités, d'aller voir ou revoir ces œuvres qui sont la fierté du cinéma français.

Titres des films insérés dans le texte  (les n° des pages font références au livre imprimé)

Jean-Luc Godard Détective (1984) p. 11, 15, 20, 31, 40, 42, 70, 97, 125, 126Tout va bien (1972) p. 19, 103Sauve qui peut la vie (1979) p. 34À bout de souffle (1959) p. 7, 35, 103 Week-end (1967) p. 73, 77 Hélas pour moi (1993) p. 79Deux ou trois choses que je sais d'elle (1966) p. 83 Le plus vieux métier du monde (1967) p. 84Numéro deux (1975) p. 89Ici et ailleurs (1974) p. 97Passion (1981) p. 102, 106Soigne ta droite (1987) p. 121Le mépris (1963) p. 124

Maurice Pialat Loulou (1980) p. 17Nous ne vieillirons pas ensemble (1972) p. 19Passe ton bac d'abord (1978) p. 74À nos amours (1983) p. 79 La gueule ouverte (1974) p. 86Le Garçu (1995) p. 94Sous le soleil de Satan (1987) p. 99Police (1985) p. 40, 96, 108, 122, 129

François Truffaut Baisers volés (1968) p. 9Les 400 cents coups (1959) p. 18 Domicile conjugal (1970) p. 18 L'argent de poche (1976) p. 19 La Peau douce (1964) p. 47Une belle fille comme moi (1972) p. 87 L'homme qui aimait les femmes (1977) p. 102 Le dernier métro (1980) p. 128