La vérité

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Pov Isabella.

J'ai soupiré puis j'ai essayé de me lever. Je retombai, gémissant à nouveau de douleur. J'ai couvert mon ventre avec ma main pour essayer d'arrêter la douleur. Il a mis une main sous mes genoux et l'autre sur mon dos et m'a soulevé.


Isabella : Que faites-vous ?

Ezio : T'emmener dans ta chambre pour te reposer.

Isabella : Tant pis pour ne pas m'aimer.

Ezio : Je ne sais pas. Mais tu n'es pas en si mauvaise compagnie.

Isabella : Attends.... Mario veut me voir.

Ezio : Non, il ne le fait. Tu as besoin de te reposer. Il comprendra.


J'ai soupiré et j'ai renoncé à essayer de le convaincre de me laisser parler avec Mario. Quand nous sommes arrivés en haut des escaliers et que nous nous sommes retrouvés dans le bureau de Mario, j'ai pris la parole.


Isabella : J'aurai besoin de votre aide demain pour quelque chose.

Ezio : Avec quoi ?

Isabella : Les pages du codex. Je dois retourner dans mon ancien palais et les récupérer mais je ne suis pas en état de voyager seul.

Ezio : Je vais vous y conduire.

Isabella : Grazie (merci).

Ezio : (m'a posé sur le lit.) Reposez-vous nous partirons quand vous vous sentiez prêt.

Isabella : Merci. Et merci encore d'avoir sauvé ma vie.

Ezio : Nessun problema (pas de problème), vraiment. Allez, dors.

Isabella : Où est ta chambre. Au cas où j'ai besoin de quelque chose, j'ai besoin de savoir où te chercher, n'est-ce pas ?

Ezio : Vous y êtes en ce moment.

Isabella : Où vas-tu dormir alors ?

Ezio : Sur le plancher.

ISabella : Pas moyens. Emmène-moi dans une autre pièce, tu dors sur le lit.

Ezio : Tu as besoin de te reposer. Ne t'inquiète pas pour moi.


Il est parti et a fermé la porte en sortant. J'ai abandonné. S'il n'en voulait pas, je suppose que je ne devrais pas le forcer. J'ai fermé les yeux et me suis endormi.


11 janvier 1480.

Je me suis réveillé avec Ezio à mes côtés, assis dans la chaise sur laquelle Claudia était assise hier. Il me regardait, à moitié endormie.


Isabella : Bonjour.

Ezio : Hé...

Isabella : Quelle heure est-il ?

Ezio : Je ne sais pas, il est presque midi je pense.

Isabella : Viens, tu devrais dormir un peu. Tu ressembles à de la merde.

Ezio : Comme si tu étais le seul à parler.

Ezio-IsabellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant