Les sentiments

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Pov Isabella.

Leonardo : Sérieusement maintenant, à travers. Je vois que tu l'aimes. Peut-être que vous ne savez même pas de quelle façon vous l'aimez – peut-être comme un ami, peut-être comme quelque chose de plus – mais même quelqu'un aveugle pourrait voir cela.

Isabella : Il ne se passe rien entre Ezio et moi. Bien sûr, il m'a embrassé une fois, mais c'était tout.

Leonardo : Il a fait quoi ?!

Isabella : Woah, calmez-vous ! Il l'a fait pour me calmer parce que j'étais folle et que je parlais de moi-même.

Leonardo : Il compte toujours ! Etes-vous sûr que c'est la seule raison ?

Isabella : Quelle autre raison pourrait-il avoir ?

Leonardo : Je peux penser à un.

Isabella Regardez, il ne se passe rien entre moi et Ezio, et il n'y aura jamais, alors il suffit de l'oublier.

Leonardo : Pourquoi pas ?

Isabella : Parce que j'aimais son frère et ce ne sera pas juste pour lui. J'ai l'impression de le tromper.

Leonardo : Mais Ezio m'a dit que tu n'étais jamais sorti ensemble.

Isabella : Il se sent toujours mal.

Leonardo : Ne pensez-vous pas que Federico aurait voulu que vous soyez heureuse, peu importe qui la personne que vous construisez le bonheur est avec ?

Isabella : Même si j'étais amoureuse d'Ezio, rien ne changerait. Il ne m'aime pas comme ça, il me voit comme une sœur, comme un famille.

Leonardo : Aha ! Je le savais ! Vous êtes amoureuse de lui !

Isabella : Vous venez de dire que peut-être je ne sais pas la façon dont je l'aime et maintenant vous faites des hypothèse ? Où avez-vous même eu cette idée ?

Leonardo : Vous avez dit, et je cite, « même si j'étais en amour avec lui ». Cela ressemble à une confession pour moi.

Isabella : C'était une situation « et si », Je ne savais pas dis-le était la réalité !


Leonardo était sur mes nerfs, mais quelque chose à l'intérieur de moi cliqué et je ne pouvais pas m'empêcher de me demander s'il a réellement raison. Peut-être que je ne sais pas ce que je ressens après tout. J'ai entendu frapper à la porte et je me suis retourné pour voir qui c'était. Leonardo me taquine et je lui sonne un vrai regard de mort et il semblait regretter de n'avoir jamais rien dit.


Leonardo : Ezio ! Tu es de retour. Je pensais que peut-être vous avez oublié votre « amie » ici.

Isabella : Sérieusement, tais-toi avant que je te regrette d'être né.

Ezio : Allez, je nous ai trouvé un endroit où séjourner.


Nous avons quitté l'atelier de Leonardo da Vinci et nous nous sommes dirigés vers la partie ouest de Venise.


Ezio : De quoi s'agissait-il ?

Isabella : Rien, ne vous inquiétez pas à ce sujet. Vous voulez me dire où nous dormons ?

Ezio-IsabellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant