La réunion des Templiers

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Pov Ezio.

Je me suis réveillé avec le doux sentiment de quelqu'un qui était étendu dans mes bras. Pendant que c'était Isabella, j'ai essayé de la rapprocher de moi, mais au lieu d'être accueilli par l'odeur apaisante de ses cheveux doux, j'ai été accueilli par ce qui s'es avéré être son oreiller. J'ai soupiré et je me lève, je me suis préparé par la journée. J'ai mis mon épée et ma dague à leur place, puis j'ai rempli mes porte-couteaux. J'ai entendu frapper à la porte et je me suis demandé qui cela pouvait être à cette heure, tout en mettant les lames cachées. Franco est entré avec une boîte et une épée à la main. Il me les a remis puis est parti. L'épée d'Isabella, j'ai remarqué, puis j'ai mis la boîte sur le bureau pour voir ce qu'il contient. A l'intérieur, j'ai trouvé un mot d'Antonio.


Il est arrivé hier soir, après votre départ. Vous avez la note d'origine sur le fond de la boîte. Au moins, tu sais qu'elle est en sécurité.


J'ai regardé à l'intérieur de la boîte et j'ai trouvé 15 couteaux de lancer, une dague et deux lames cachées, celle qui appartenait à Mario étant modifiée pour tenir ce qui semblait être un pistolet. Cela doit être la mise à niveau Leonardo parlait.... J'ai retourné la boîte pour lire le message qu'Antonio a mentionné.


Voici ses armes. Nous aurions dû les garder, mais nous avons pensé que peut-être vous voulez qu'ils reviennent comme un souvenir de ce que vous pourriez perdre si vous n'abandonnez pas votre chasse.


C'est un non-sens, ça ne prouve rien ! Cela ne prouve pas qu'elle est vivante et bien portante ou si elle est blessée ou, pire encore, morte.... J'ai laissé un cri de colère échapper à ma bouche et j'ai jeté la boîte à travers la pièce, mettant mes mains sur ma tête dans le désespoir. Elle s'inquiétait que je ne revienne pas, mais c'est moi qui suis assis ici tout seul. J'ai secoué la tête en essayant de me débarrasser de l'image de son cadavre qui coulait dans un canal, mais c'était inutile. Je dois la récupérer. Non, merde. Je dois la récupérer. Je ne peux pas faire ça sans elle. J'ai quitté l'ancienne guilde et je me suis dirigé vers le lieu de rencontre. Comment ai-je réussi à me réveiller si tôt ? Elle me réveille tous les matins avec un baiser et je meurs d'envie de le recevoir quand je la trouve enfin.

Les rues étaient occupées comme toujours et je ne pouvais m'empêcher de remarquer qu'il n'y avait plus de gardes s'en prenant aux marchands. Au moins, on a fait quelque chose de bien. Je me suis caché derrière une cheminée sur un toit et j'ai attendu. Carlo – l'homme à qui Emilio parlait hier soir – s'est présenté et a été accueilli par un homme cagoulé rouge, assis sur un banc.


Homme : Où es Emilio ?

Carlo : Je lui ai dit d'être ici.

Homme : Vous lui avez dit vous-même ? En personne ?

Carlo : Oui, moi-même, en personne. Je crains que vous ne me fassiez pas confiance.

Homme : Comme je suis. Peut-être arrivera-t-il avec les autres. Marchez avec moi.


L'étranger se met et a commencé à conduire Carlo dans la rue. Ils se débattaient bien, mais je pouvais à peine me concentrer sur ce qu'ils disaient. J'ai peur ce qui arrive à Isabella. J'ai continué à écouter, dans l'espoir d'entendre son nom, mais n'a rien obtenu. Quand nous sommes arrivés à Basilique de San Marco, j'ai vu deux autres hommes qui attendaient. Tout ce dont j'ai besoin, ce sont des noms et puis je saurai qui traquer....

Ezio-IsabellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant