Ezio-Isabella

L'amour d'Ezio

Pov Isabella.

Nous avons quitté la guilde et grimpé jusqu'à la sécurité des toits. Nous avons regardé autour et j'ai vu une haute tour avec une croix au sommet. Nous avons commencé à courir vers elle, en sautant de toit en toit et en évitant les gardes qui nous criaient de descendre. Ezio sauta dan un soufflet de foin, puis me regarda.

Ezio : Qu'attendez-vous ?

Isabella : La dernière fois que j'ai fait un acte de foi, c'était il y a trois mois et je l'ai fait à cause de l'adrénaline, je voulais m'éloigner de vous.

Ezio : Allez, ce n'est pas si élevé. La villa était plus grande.

J'ai fermé les yeux et j'ai pris une grande respiration. J'ai sauté et paniqué pendant une seconde quand je n'ai pas senti la botte de foin entrer en contact avec mon corps, mais je me suis vite calmé quand j'ai senti les bras d'Ezio de la pile de foin. Nous avons rencontré Rosa à l'avant de l'église. Elle était à la recherche d'un bon endroit pour nous de former notre nouvelle capacité.

Rosa : Escalader un peu d'échafaudage est tout bien beau, mais nous allons voir comment vous faites à l'air libre.

Ezio : Au sommet de cette tour alors ? Torno fra un attimo (je serai de retour).

Nous avons tous les deux grimpé jusqu'à l'avant de l'église jusqu'au toit, puis nous nous sommes dirigés vers la tour. J'ai mis la main sur les pierres blanches qui sortaient du bâtiment. Quand j'ai atteint la fin du premier set, je me suis poussé vers le haut et j'ai essayé de m'accrocher au suivant. Ezio était juste à côté de moi donc, quand j'ai raté la brique, il m'a attrapé par ma main et m'a empêché de tomber.

Ezio : Je t'ai eu.

J'ai souri et j'ai recommencé à grimper. Nous avons atteint le sommet et il m'a tiré pour un câlin serré.

Isabella : A quoi cela fait-il ?

Ezio : Vous m'avez fait peur ! Je vous ai dit que votre jambe rendrait l'escalade plus difficile.

Isabella : Ma main a glissé, ce n'était pas ma jambe. D'ailleurs, j'ai vécu pire...

J'ai soulevé mes robes et regardé la blessure que j'avais sur mon abdomen. Une larme a roulé sur ma joue, mais il a remarqué, malgré moi avoir ma capuche. Il l'a essuyé avec son pouce, puis m'a tiré dans un câlin.

Isabella : Je ne pense pas que je pourrai jamais m'en remettre.

Ezio : Je vais m'assurer que vous l'oubliez. Tu vas voir. Avec le temps, vous ne vous souviendrez même pas comment vous l'avez obtenu.

Isabella : Je suis sûr qu'une cicatrice comme celle-ci ne vient que d'un coup de couteau de sorte que vos paroles sont inutiles.

Ezio : Nous verrons à ce sujet.... (M'embrasse et s'assoie.) Viens, assieds-toi avec moi.