La blonde, l'Okama et le couteau.

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Bonjour tout le monde, d'une part je tenais à m'excuser pour ma longue absence suite a mon retour de vacance je n'ai pas réussi a me remettre a écrire tout de suite MAIS, je m'y suis remise et voici le chapitre 14, j'espère qu'il vous plaira. Cependant mon correcteur ne s'est pas encore penché sue ce chapitre je m'excuse donc par avance pour les fautes d'orthographe que vous allez y trouver, ce souci devrait être réglé prochainement . Bonne lecture !


-Law-

Je pousse un profond soupir, ça fait des semaines que je ne fais qu'étudier et enquêter.

Le réseau de kidnapping est extrêmement vaste et aucunes des personnes que j'ai interrogées ne sais où se trouve le centre névralgique de toute cette affaire. Liv-ya à arrêter de s'occuper de ça il semblerait. J'en suis presque déçu. J'aurais aimé... trouver çà et là des traces de son passage, elle me manque tellement. Bepo nous a subtilement emmené sur plusieurs îles de la liste en pensant que je m'en rendrai pas compte. Y avait rien, pas une trace d'elle ou du cuirassé de la Marine. Mon seul lien avec elle aujourd'hui se sont les magazines que l'équipage récolte durant nos escales. J'ai cru devenir fou plusieurs fois en la voyant au bras d'autres hommes sur le papier glacé. Rien que d'y penser je sens la rage qui me monte au nez. Je n'avais jamais ressenti ça de ma vie, une colère si intense et personne sur qui la faire passer à part les pauvres diables qui se trouvent dans mon entourage. Bepo est le seul à comprendre ce que je ressens dans ces moments-là. Je finis systématiquement en larme sous mes couvertures. Cette souffrance-là, je l'avais jamais connu et je la souhaite vraiment à personne.

Je relève la tête et regarde autour de moi. Ils ont encore réussi à me tirer dans un bouiboui très limite. Je suis vraiment triste, je reste assis au bar et je commande à boire, je suis complètement déchiré. Je sais même plus combien de verre j'ai bu. Tout me parait flou et cotonneux, c'est presque agréable. Les gars essaient de venir me parler pour que je me remu avec eux mais il n'y a qu'avec elle que je veux danser, je me souviens de toute ces fois où nous avons dansé ensemble, au bar, à la fête foraine, dans nos chambres d'hôtel alors que je la déshabillais avant de lui faire l'amour.

De longues minutes passent, la musique me remplit les oreilles. Il y a une fille aux cheveux blond qui danse devant moi, ça me fait sourire, elle est sexy, de dos, elle bouge d'une façon très agréable à regarder. Je la fixe longtemps. Elle se retourne, les bras en l'air et ondule en fermant les yeux. Finalement la musique s'arrête. Elle se dirige vers le bar et se penche sur le comptoir pour commander un verre juste à côté de moi. Je matte sans-gêne son opulente poitrine, je suis complètement aux fraises. Je me demande ce que ça me ferait de mettre mon visage entre ces deux-là. J'ai pas baisé depuis... putain... J'arrive même plus à me branler, dès que je me touche, je la revois en train de pleurer en dessous de moi et j'entends les ressorts qui grincent, ça me donne à chaque fois envie de vomir ou de chialer. Je suis redevenu un ado qui souffre de pollution nocturne. C'est tellement la honte... Quand je rêve d'elle... Je rêve qu'on se retrouve, que je la touche... c'est si bon que...

La blonde tourne la tête vers moi. Ces yeux sont bleus, pas aussi bleu que ceux de Liv-ya mais mon corps semble réagir quand même. Elle me sourit un instant. Je crois qu'elle me parle mais je comprends rien. Elle se penche à mon oreille, son odeur chatouille mes narines. Elle s'approche un peu plus entre mes jambes et commence à me caresser les épaules. Pourquoi je la laisse faire ? Et pourquoi mon corps s'excite-t-il ainsi ? Elle ne lui ressemble même pas. Elle m'embrasse. Je réponds sans réellement en avoir envie comme on lècherait l'opercule d'un yaourt. Elle se penche une nouvelle fois à mon oreille et me dit.

L'inconnue de Trafalgar Law. 🍋Où les histoires vivent. Découvrez maintenant