Une menace sévit à Sète.

Chapitre 2 : Aurore en danger.

Aurore est sur une enquête hyper difficile, un homme est accusé de battre sa femme mais le corps de cette femme a jamais été retrouvé, elle a besoin de l'avis de ses collègues.
Aurore : Pour moi elle n'est pas morte, elle a mit en scène sa propre mort.
Karim : C'est impossible, on a pas retrouvé son corps d'accord, mais ça fait quinze jours, son mari a du l'enterrer quelque part pour pas qu'on la retrouve.
Aurore : Peut être je sais pas.
Karim : Te prend pas la tête, on finira par retrouver son corps.
Aurore : Si il y'a vraiment un corps.
Karim : Comme tu dis mais je pense que c'est qu'une question de temps.
Aurore : En tout cas ça me rend malade qu'un mec tue sa femme et l'enterre et qu'il continue sa petite vie tranquille comme si de rien n'était.
Karim : Moi aussi mais justement notre boulot c'est de les arrêter.
Aurore : Oui. On se voit demain je vais rentrer.
Karim : C'est vrai que tu finis tôt aujourd'hui.
Aurore : Et oui. Allez à demain.
Karim : A demain dit-il en lui faisant la bise.
Elle rentre chez elle où elle retrouve son mari.
William : Ca s'est bien passé ta journée ?
Aurore : Oui, en part qu'on a toujours pas retrouvé le corps de la victime et ça m'inquiète.
William : T'avais pas eu une affaire comme ça y'a quelques mois où le mec tuait ses compagnes et les dépouiller, que la dernière vous avez mit quatre mois avant de la retrouver.
Aurore : Oui, elle était enterrée dans une usine désinfectée, ça me rend malade des hommes qui tuent leur compagne.
William : Je sais mon amour, les connards existent.
En pleine nuit, Aurore entend un bruit de fenêtre qui casse, une personne est entré chez elle, elle met l'appartement sans dessous dessus. Elle se réveille en sursaut.
Aurore : William réveille toi !
William : Quoi ?
Aurore : Quelqu'un est rentré chez nous !
William : Va voir je te rejoins.
Aurore descend au salon en allumant la lumière, elle voit pleins de photos d'elle déchirées et étalées en plein milieu du salon.
William : C'est quoi ce bordel ?
Aurore : Quelqu'un nous en veut William !