chapitre 19

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Pdv Darek :

Je me redresse. Je me tiens sur mes cuisses, les jambes écartées, Caroline sous moi. Elle est allongée sur le dos, ses longs cheveux noirs en bataille, les joues rougient et le t-shirt légèrement remontée laissant entrevoir son nombril. Mon souffle s'accélère, je rapproche mon visage du sien, pose mes coudes de chaque côté de sa tête et m'accapare de ses lèvres. Je les pose délicatement sur les siennes puis les mouvoient doucement. Nos langues s'entremêlent, ses mains aggrippent ma nuque et un frisson me parcourt.
Caroline se redresse, attrape mes hanches et me renverse sur le lit.

Elle s'asseoit sur moi, au niveau de mes hanches. Elle replace une mèche derrière son oreille, attrappe de sa main droite ma mâchoire, fais glisser ses doigts sur mon menton descendant jusqu'au milieu de mon cou. Ma respiration s'accélère, mon corps s'échauffe et mon rythme cardiaque augmente. Elle happe mes lèvres et glisse sa langue dans ma bouche entrouverte qui n'attend que ça. Je monte ma main droite sur le haut de son pantalon , la pince et titille le tissu de son t-shirt. Je lève la tête et ancre mon regard dans le sien. Ses yeux pétillent et sa cage thoracique se soulève rapidement. Elle passe sa main dans ses cheveux et reprend sa respiration. Je pose ma main gauche sur sa cuisse droite la faisant  remonter jusqu'à ses fesses. Elle frissonne et me happe le cou qu'elle n'hésite pas à marquer.

Caroline aspire ma peau et la mordille me faisant retenir un petit cri. Je décide d'inverser la tendance et nous reprenons notre position initiale. Elle, au dessous et moi, au dessus. Je passe mes mains sous son t-shirt, faisant glisser mes doigts sur sa peau frémissante et douce. Elle se cambre légèrement me laissant le temps de lui enlever son haut. Une forte excitation monte en moi, s'écoulant dans mes veines se réunissant jusqu'au bas de mon bassin.

Les doigts de Caroline jouant avec la fermeture de mon pantalon n'arrange pas la situation. Je penche mon visage sur son torse et hume sa lingerie. Mes doigts glissent de ses épaules jusqu'à son soutif et je lui mords le haut du sein. Elle s'empourpre et lâche un gémissement qu'elle stoppe immédiatement par crainte d'être entendue. Je sens mon caleçon devenir trop petit et je me dandine. Ce n'est pas super agréable. Elle semble apercevoir cette gêne et ouvre la fermeture de mon pantalon le descendant jusqu'au haut de mes cuisses. Du regard elle me demande la permission. Je hoche la tête. Elle s'approche et s'asseoit sur ses genoux. Je penche la tête vers l'arrière, Caroline se rapproche encore jusqu'à me pousser contre le mur. Nous sommes maintenant face à face.

Elle sourit malicieusement et pose délicatement son majeur et son index sur mon caleçon déjà déformé par le plaisir. Des picotements se font ressentir et un bien être se répand en moi. Nous nous fixons.

Notre respiration retentit dans le silence de la pièce. Personne ne bouge. Une montée de chaleur et d'excitation nous envahit. Tout ça, c'est nouveau et c'est putain d'agréable.
J'approche ma bouche de son épaule dénudée. Je l'embrasse d'abord sensuellement puis plus sauvagement. Elle gémit doucement et décide de poser sa main sur mon entre-jambe. Je trace un chemin jusqu'à sa clavicule tandis qu'elle passe sa main doucement sur mon membre déjà bien durci.
Je soupire d'aise. En réponse,  je descends vite mes mains au niveau de la fermeture éclair de son jean.
D'un rapide coup sec la fermeture s'ouvre et je baisse son pantalon en dessous de sa culotte. J'ai une vue magnifique. Caroline continue de me masser lentement mon entre-jambe et remonte une de ses mains sous mon t-shirt. Elle passe sa main sur mes pectoraux je lui mordille doucement le sein gauche.

Une sonnerie retentit.
Une 2ème.
Une 3ème.
Une 4ème.
Une 5ème.
Une 6ème.
Une 7ème.

Je lève les yeux au ciel. Caroline se décale et s'allonge à côté de moi.
J'attrape mon téléphone. Qui est le chieur qui vient de nous déranger ?.

5 appel manqué d'Isée.

Je passe ma main dans les longs cheveux ondulés de Caroline.

Moi : Faut que je réponde.

Elle hoche la tête.

Caroline : Heu..Ouais, j'y vais.

Je la regarde se lever et s'en aller. Elle s'arrête au niveau de l'encadrement de la porte.

Moi : On reparle de tout ça plus tard ?

Caroline : Oui. À toute.

La porte se referme.

J'ouvre message et j'appelle Isée.

Le téléphone sonne 3 fois avant qu'une voix féminine se fasse entendre.

Isée : J'ai des nouvelles.

Moi : Moi aussi.

Fin du chapitre !!!  J'espère qu'il vous a plus et .....
L'histoire a dépassé les 1k ( ça me paraît vraimenténorme) !! Mercii beaucoup, je vous remercie tous/toutes,
À la prochaine.
788 mots

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