Cocktail à l'ammoniaque 〔Takemikey〕

《Chapitre 8》

Suite...
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PDV Mikey :

Mon envi de lui fracasser la tête était intense. On était bien reparti, mais s'en prendre à mes descendants, ça il en est hors de questions. Pourtant ça aurait pû bien se passer. La violence ne résout rien, c'est bien connu. Même si parfois, elle peut aider...

Mikey : T'as de la chance qu'on soit alliés, car sinon je t'aurais ordonné de sauter du pont.

Avais-je dis pendant que je me redressais avec difficulté.

La douleur commençait à s'atténuer, et je pû reprendre mon air neutre habituel.

Il fini par porter une de ses mains à sa tête et semblait un peu gêné.

Takemichou : Eh eh Pardon. J'y suis peut-être allé un peu fort. Mais aussi, il faut reconnaître que tu l'as bien cherché !

En même temps... il avait pas tort, mais qu'est-ce que je voulais lui arracher les cheveux, puis les revendre à Senju. Malgré le fait qu'on aurait dit qu'il s'en voulait réellement je ne pouvais cacher mon énervement.

Je réussi à reprendre mon calme et revint au sujet principal qui nous mènerait à notre destination.

Mikey : Bon... je mets ça de côté pour t'expliquer la merde avec Walhalla et l'alliance.

Je repris le rythme de marche et Takemichou me suivi, maintenant un air sérieux sur son visage.

Mikey : En gros, il y a eu une guerre et Le Walhalla, Moebius et le Toman ont formé une alliance. Une sorte de pacte de non-agression. Seulement, depuis plusieurs années, Walhalla et Moebius se sont de plus en plus rapprochés et par conséquent se sont éloigné de nous. Il ne faut pas oublier non plus l'attaque d'hier. Donc, nous voulons nous allier avec le Brahman et partir de l'alliance.

Il resta silencieux et releva la tête.

Takemichou : Je vois... mais vous n'avez pas peur que Walhalla et Moebius vous déclare la guerre suite à tous ça ?

On y avait déjà réfléchi, ça montre qu'il n'est pas totalement à l'ouest.

Mikey : Peur ? Non pas du tout. Par contre, effectivement c'est presque certain qu'ils vont faire ça.

Je tournais ma tête vers lui pour le regarder dans les yeux.

Mikey : Si il y a une guerre, se sera plus simple pour nous de libérer ton peuple.

Il acquiesça et me tendi sa main avec un grand sourire.

Takemichou : Dans ce cas, on fait la paix ?

Je fixais sa main puis remontais vers ses deux iris océan plis vifs que jamais.

Mikey : Tu peux la bouffer ta paix.

Un peu violent, je l'admet. Il fit la moue puis, rigola.

Takemichou : On a échangé les rôles.

Puis son visage prit un air plus sérieux, fixant le sol.

Takemichou : Je sais pas toi... mais j'ai une drôle d'impression.

Que veut-il dire par là ? Parce que des "drôles d'impressions" avec lui je n'ai que ça.

Mikey : Pourquoi ?

Takemichou : Si je savais pourquoi je ne te pauserais pas la question.

On aurait dit deux débiles à discuter en plein milieu d'un couloir. Non... nous étions deux débiles à discuter en plein milieu d'un couloir.